Les Mémoires très Libertines de Sophie
Cheville foulée
Il y a une quinzaine de jours, je terminais en solitaire une petite randonnée d’une dizaine de kilomètres, dont l’itinéraire démarre et arrive sur le parking du parcours de fitness de la petite ville où je réside. C’était le début de l’automne et même si le temps était plutôt clément, il fallait faire attention à ne pas glisser sur les feuilles humides.
J’étais à moins de cinq minutes du parking, quand à une dizaine de mètres devant moi, j’ai vu une joggeuse glisser et chuter lourdement sur le sol. J’ai pressé le pas, et quand je suis arrivé auprès d’elle, elle ne s’était pas encore relevée et gémissait de douleur en se tenant la cheville droite. Je me suis penché vers elle en lui demandant si je pouvais l’aider. Elle m’a dit s’être tordu la cheville en glissant sur une racine recouverte de feuilles mortes. Je l’ai aidée à se relever mais elle ne pouvait pas poser son pied. Pour regagner le parking, j’ai passé le bras gauche autour de sa taille pour la soutenir et de son côté, elle avait mis le droit autour de mon cou. Il lui était impossible de conduire. Je lui ai proposé de la ramener avec sa voiture jusque chez elle. Je reviendrais chercher la mienne plus tard.
Elle résidait dans un studio au deuxième étage d’un petit immeuble récent du centre ville, heureusement pourvu d’un ascenseur. Après l’avoir installée dans un fauteuil, je l’ai aidée à se déchausser pour examiner sa cheville. Elle était bien gonflée et chaude, mais malgré tout, Lucie pouvait bouger son pied. Mes notions de premiers secours m’ont permis de la rassurer en lui disant que ce n’était qu’une entorse simple. Pour faire partir le gonflement, il suffisait dans un premier temps de prendre un bain de pied froid et qu’ensuite un bandage serré lui permettrait de marcher à peu près normalement. Elle ne voulait pas aller consulter le service médical d’urgence car elle était actuellement en stage dans un cabinet d’avocats internationaux au Luxembourg et elle n’avait pas les moyens de l’interrompre.
Petite brune d’environ un mètre soixante avec des cheveux noirs longs coiffés en queue de cheval, Lucie est un joli brin de femme. Sous son sweet-shirt, je pouvais deviner une poitrine menue. Ses yeux bruns légèrement bridés lui faisaient un regard coquin qui illuminait son visage. Je ne lui donnais pas plus de vingt-cinq ans. Dès qu’elle a été installée, la cheville dans un bain froid avec des glaçons, je lui ai offert de revenir lui faire son bandage en fin d’après midi dès que je serais allé récupérer ma voiture. Pour faciliter mon retour dans son appartement, elle m’a remis une clé. Une heure plus tard, je revenais avec le nécessaire pour le bandage. Lucie avait toujours le pied plongé dans le bain froid. Sa cheville avait désenflé et j’ai pu lui faire le bandage prévu.
Pour me remercier, elle m’a invité à diner « à la fortune du pot ». Nous nous sommes contentés d’une tranche de viande froide et d’une salade de tomates à la mozzarella. Nous avons bavardé longuement au cours du repas et après. D’origine italienne, elle avait fait toutes ses études universitaires à Paris et après ces cinq années, elle avait décroché ce stage de trois mois qui, elle l’espérait, déboucherait sur une embauche qui la conduirait vers une carrière de juriste internationale. Son travail lui plaisait et il régnait une bonne ambiance entre les membres du cabinet. Vers vingy-deux heures, j’ai pris congé de Lucie qui m’a dit de venir diner le vendredi suivant. Elle me préparerait une spécialité italienne pour un repas plus conséquent.
Une semaine plus tard vers vingt heures, je sonnais à la porte de Lucie. Oh surprise ! Elle m’attendait dans un kimono en soie ivoire opaque orné de dentelle et un pantalon du même tissu qui lui allaient à ravir.
« Je me suis mise à mon aise après la douche, me dit-elle, j’en avais besoin, les trajets en train, ce n’est pas génial ! »
Nous sommes passés à table pour un repas exclusivement tourné vers l’Italie. Nous avons repris notre bavardage de la semaine passée tout en mangeant, puis installés côte-à-côte sur le divan nous avons poursuivi notre conversation. Alors que j’aurais pu largement être son père, nous avons ri comme deux potaches contents de leurs blagues mais les propos ont fini par dériver vers la coquinerie. En plaisantant, je lui disais que belle comme elle l’était, elle devait multiplier les conquêtes masculines. Ce n’était pas le cas car elle s’était entièrement consacrée à ses études et à part quelques aventures sans lendemain lors de vacances estivales, elle n’avait pas de copain.
« Et toi, tu vis seul mais tu dois encore avoir des aventures ? Raconte-moi comment tu fais des conquêtes… »
Bien sur je me vivais pas en ermite, loin des plaisirs de la vie et le sexe en fait partie. Je lui indiquais alors que je draguais sur les sites de rencontres coquines sur la toile et que de temps à autre, j’allais dans un club libertin de la région où j’avais un abonnement à l’année.
Je m’étais un peu tourné vers Lucie et par l’entrebâillement de son déshabillé, je plongeais mes regards sur un sein bombé qui me semblait bien ferme. Jolie vue, très sensuelle. J’étais un peu mal à l’aise de sentir mon désir pour Lucie monter peu à peu dans mon boxer, mais je ne pouvais pas l’empêcher. Cette coquine devait le sentir car loin de refermer la veste de son kimono, elle a dénoué la ceinture et les pans se sont écartés comme par enchantement. Elle avait la peau mate des filles du soleil et je pouvais voir que l’été dernier, elle avait bronzé avec le soutien gorge de son bikini : un triangle de peau plus claire s’étendait sur ses seins aux aréoles très foncées. L’invitation de Lucie à aller de l’avant était sans équivoque. Je l’ai enlacée et doucement, je suis allé déposer un baiser sur ses lèvres. Elle a ouvert la bouche et nos langues ont commencé un ballet sensuel de plus en plus chaud. Pendant ce temps, j’étais allé cueillir son sein droit de la main et je le caressais lentement, cherchant à faire saillir le bourgeon.
Soudain Lucie s’est levée, elle a fait glisser le déshabillé sur le tapis et elle est venue se mettre à califourchon sur mes jambes pour continuer à m’affoler de ses baisers. Je faisais courir mes mains sur son torse, tantôt devant sur ses seins jusqu’aux hanches, tantôt derrière où je suivais le creux de sa colonne vertébrale que j’agaçais de mes ongles. J’avais de plus en plus chaud et ma bite se trouvait désormais très à l’étroit dans mon boxer. C’est elle qui a entrepris de m’enlever mes vêtements, le sweet-shirt et la chemise ont rejoint le haut du déshabillé sur le tapis. Nous étions désormais à égalité : Lucie n’avait plus que son pantalon de soie (et peut-être un string) et ses mules à talons hauts et moi, je n’avais plus que mon pantalon, mon boxer et mes sandalettes.
Quand elle s’est levée, j’ai compris que nous allions passer aux choses sérieuses. Lucie a fait glisser dans le même mouvement son pantalon et son string et j’ai ôté le reste de ce que je portais. Nous étions face à face, entièrement nus, le souffle un peu court après nos échanges de baisers enflammés, ma bite dressée triomphalement faisait face à son pubis orné d’un duvet noir dessiné en triangle. « Viens, dit-elle en s’allongeant sur le divan, j’ai envie de faire l’amour et toi aussi ! » Je cherchai précipitamment un préservatif dans mon pantalon mais Lucie me dit que nous pouvions nous en passer, elle était sous contraception et avec moi, elle ne craignait rien…
Lucie me tendait les bras et la fourche de ses jambes était largement ouverte. Je me glissai entre ses cuisses et d’une longue et lente poussée, je pris possession de sa chatte trempée de cyprine, heureusement car elle était étroite. Je restai ainsi sans bouger pendant quelques minutes pour savourer la douce chaleur de cette gaine humide. J’étais en appui sur les bras. Seuls nos deux bassins étaient en contact et je voyais ses seins palpiter doucement au rythme de la respiration de Lucie. Les yeux grands ouverts, elle me souriait : « Vas-y ! Baise-moi fort ! » J’ai commencé les mouvements de va-et-vient dans sa chatte. Lorsque mon gland revenait à la sortie, Lucie jetait son bassin en avant comme pour me retenir et m’empêcher de sortir. Loin de moi cette idée !
J’ai accéléré les mouvements. A chaque fois que j’arrivais au fond de sa vulve, Lucie poussait un petit cri. Je sentais son plaisir monter au même rythme que le mien. Nous allions tous les deux vers une jouissance simultanée. Soudain, Lucie a relevé ses jambes pour venir les nouer sur mes reins en poussant un grand râle de jouissance. Son vagin et tout son bassin étaient pris de mouvements convulsifs. Elle avait rejeté la tête en arrière et sa bouche entrouverte semblait chercher son souffle. Pendant qu’elle jouissait, je me suis retenu mais aussitôt après, je me suis lâché. De puissants jets de sperme ont inondé le fond de sa chatte. Il y avait longtemps que je n’avais pas eu le plaisir de me vider directement dans un sexe accueillant.
Nous avions pris notre temps pour baiser mais après cette belle jouissance, nous étions essoufflés tous les deux. Je me suis allongé sur Lucie, les coudes le long de son buste, je sentais contre ma poitrine les douces protubérances de ses seins. Nous échangions de petits baisers et d’une main, je lui caressais la nuque. J’avais toujours la bite un peu débandée dans sa chatte. L’un et l’autre, corps contre corps, nous savourions ces instants merveilleux de douceur qui suivent une bonne baise. Finalement, ma queue est sortie de son sexe. Je me suis relevé en nous désunissant.
« Reste ! Nous allons ouvrir le lit, j’ai envie de dormir dans tes bras ! »
Quelle belle invitation ! Nus tous les deux, nous avons ouverte le divan-lit et nous nous sommes glissés sous la couette. La pièce n’était plus éclairée que par quelques bougies placées dans des photophores de couleurs disposés çà et là. Nous étions couchés sur le côté, Lucie blottie au creux de mes bras, nos jambes à nouveau emmêlées, me disait combien je l’avais rendue heureuse et me remerciait encore de l’avoir secourue d’une manière efficace la semaine précédente. La chaleur du lit et le contact de son pubis contre le mien avaient fait renaître ma bandaison. Glissant une main entre nous deux, Lucie a achevé de faire dresser ma bite pour venir la chevaucher en amazone face à moi.
Tout d’abord elle a ondulé du bassin comme pour mieux loger ma queue au fond de sa chatte puis elle a entrepris les mouvements de va-et-vient, sortant parfois totalement ma bite de sa chatte pour mieux la reprendre ensuite et savourer la lente pénétration. Bien que noyé de cyprine et de foutre, son sexe était toujours étroitement moulé sur le mien. Dans le clair obscur de la pièce, l’éclairage mettait des flaques de couleur mordorée sur la peau de Lucie. Je distinguais les deux triangles plus clairs au niveau de sa poitrine et la marque du maillot à sa taille.
Ses yeux brillaient et sa bouche entrouverte laissait voir la blancheur de ses dents, seule tache vraiment plus claire. Lucie prenait son temps, les genoux à hauteur de mon bassin, elle ondulait, ma bite allant à chaque fois jusqu’au fond quand nos pubis étaient en contact. Puis elle a changé de position, toujours en amazone, elle a rejeté la couette en arrière, elle a mis ses pieds à plat de chaque côté de mes hanches et là, elle a repris sa cavalcade de plus en plus rapide. J’avais posé mes mains de chaque côté de sa taille pour maintenir son équilibre. Et notre jouissance est arrivée une nouvelle fois, soudaine et violente.
Lucie s’est affalée sur mon torse et ce n’est que bien plus tard que nous avons repris conscience. Nous nous étions endormis dans cette position quasi instantanément. Je me suis rhabillé, et j’ai quitté Lucie et la remerciant, et en disant que je préférais la quitter ainsi aux petites heures de la nuit pour ne pas la compromettre par une rencontre inopportune. Je ne sais pas si cette soirée sera suivie d’autres moments sensuels comme ceux-là ! Mais c’était merveilleux car inattendu.
Fille au pair - 2ème partie
Chapitre II – Je découvre de nouvelles sensations.
Pendant quelques jours, la vie au restaurant se déroule sans accrocs. Les consommateurs sont de plus en plus nombreux, car désormais la saison touristique est bien lancée. En journée, nous n’avons que deux heures de répit tout relatif, car il faut préparer les salles pour l’afflux des clients du soir. Nous ne voyons plus la femme de Guido depuis le début de la semaine, elle est fatiguée par la grossesse.
Après la séance de la semaine précédente, mon corps réclame du plaisir… mais je ne veux pas me masturber et je n’ai pas encore eu de jour de repos qui me permette de me laisser draguer et baiser par un garçon de rencontre.
Comme j’ai remarqué que chaque fois qu’un des serveuses casse de la vaisselle, elle est sanctionnée par Mme. Maria, qui lui applique la punition à coups de cravache, je décide de casser quelques assiettes en desservant les tables avant la fermeture du restaurant.
Çà ne manque pas ! Dès que j’ai ramassé les morceaux de vaisselle, elle m’ordonne de monter dans ma chambre et de l’y attendre :
« Tu sais quelle posture prendre, alors, Va te préparer. »
Je ne tarde pas à entendre la porte de la chambre s’ouvrir et le pas de Guido retentir sur le plancher. Il est seul !
« Alors coquine ! Tu l’as fait exprès de casser des assiettes ! Tu as envie que je te fouette avant de te baiser !
- Bien sur que je l’ai fait exprès ! Je sais que tu es en manque et moi aussi, alors nous sommes faits pour nous entendre.
- Oui, mais je dois quand même te cravacher car ma mère est capable de vérifier quand tu prendras le service demain !
- Pas de problème, j’ai découvert l’autre jour que de voir Anja se faire cingler le cul, çà me faisait mouiller ! »
Ce soir, je dois recevoir quinze coups de cravache. Je n’ai pas fait les choses à moitié. Guido commence à fustiger mes fesses qui, sous la morsure du cuir, s’échauffent rapidement. Là où la palette frappe, je sens la brulure plus vive. Et dans mon ventre, la chaleur se répand, montant de mon sexe vers mes seins dont les tétons sont érigés et j’imagine tout durs. Quand Guido cesse, je lui dis :
« Encore quelques uns !
- Tu es vraiment une catin pour aimer te faire fouetter ainsi !
- Oui ! Fais de moi ce que tu veux ! »
Je ne savais pas ce qui m’attendait en disant cela ! Comme je me suis mise entièrement nue pour recevoir la correction, mes parties intimes sont totalement accessibles, et Guido en profite. D’une main, il palpe mes seins, et de l’autre, il triture mon abricot, faisant courir ses doigts dans ma toison légère, agaçant mon clitoris au passage avant de plonger dans ma chatte pour me masturber.
Je suis si mouillée qu’il entre trois doigts d’un seul coup alors que je sens son pouce et son petit doigt courir le long de mes lèvres intimes. Cette caresse a le don de me faire mouiller encore plus, et je sens que si Guido continue ainsi, il va me faire partir rapidement. Je tortille de la croupe pour échapper à cette pénétration digitale. J’ai envie d’autre chose… Une belle bite dans la chatte, fine et longue comme celle de Guido !
Je parviens à me dégager et en me retournant vers Guido, je vois le devant de son jean déformé par une protubérance prometteuse. Après l’avoir palpée d’une main, je défais la ceinture du pantalon et glisser le zip. Aussitôt la queue de Guido jaillit comme un ressort qui se détend. Ce cochon ne porte même pas de slip !
Sans un mot, je me précipite sur ce beau sexe déjà très dur. Je le plonge dans ma bouche pour l’enduire de salive et le sucer pour bien faire monter la sauce ! Je suis surprise : Guido est un peu velu comme peuvent être certains latins, mais il a le bas ventre et les couilles imberbes. Lorsque la semaine précédente il m’a baisée, je n’ai pas remarqué ce détail tant j’étais excitée.
« Viens baise-moi maintenant ! »
Guido se débarrasse de ses vêtements pendant que je m’allonge sur mon lit les cuisses ouvertes, offerte comme une pute qui attend son mac ! Rapidement, il couvre sa bite d’un préservatif et vient me rejoindre. Il me domine. Je vois que la longueur de sa queue dépasse le niveau de son nombril. Elle doit faire pas loin de vingt-cinq centimètres…
Il saisit mes jambes et les relève pour mettre mes cuisses ouvertes en V, et d’un seul trait il se loge au fond de mon vagin. Si j’avais envie de me faire baiser, Guido en avait également envie. Il commence à me limer lentement, puis de plus en plus vite, si bien que je jouis rapidement en rabaissant mes jambes sur le dos de Guido pour le garder en moi le plus longtemps possible.
J’ai complètement oublié la douleur encore présente des coups de cravache que Guido m’a assénés dès son arrivée dans ma chambre. Je suis complètement partie dans mon délire et mon envie de sexe…
Guido entretient sa bandaison en navigant doucement dans ma chatte puis il se dégage. Une fois encore il me fait mettre en levrette. Je crois que tout comme moi il doit apprécier cette posture quelque peu animale.
Lorsqu’il est derrière moi, il m’assène deux claques sur les fesses en me disant de redresser mon cul. Je me place comme il veut, le cul levé et les coudes en appui devant moi, si bien que mes tétons frottent sur la couverture du lit et la tête dans l’oreiller.
Je sens sa bite qui cherche l’entrée de ma chatte et soudain c’est l’estocade. Guido m’embroche sur sa queue d’une violente poussée qui me projette en avant alors que ses mains sont crochetées dans mes hanches. Guido reste quelques instants au fond de ma chatte avant de commencer le va-et-vient, sortant presque à chaque fois pour mieux rentrer à nouveau avec force. J’adore ! Un peu de violence dans la baise, je découvre que cela me plait.
Comme l’autre fois, Guido titille ma rondelle plissée. Cela m’excite mais je n’ose as trop le manifester.
« Dis donc ma salope, tu es drôlement étroite du cul ! Je parie que personne n’y est entré !
- Oui, çà c’est sur, personne n’y est entré, même pas un doigt lorsque je me caresse !
- Et bien, Sidonie, il va falloir y remédier ! Tu as un beau petit cul, ce serait dommage de ne pas en profiter !
- J’ai peur d’avoir mal ! Je suis tellement étroite.
- Rassure toi, je ne vais pas te forcer la pastille comme çà ! Je veux que tu aies aussi du plaisir. Je sais comment faire et depuis que j’ai éduqué ma femme, elle jouit aussi fort du cul et de la chatte. »
En disant cela, Guido prend le tube de baume apaisant destiné à atténuer la douleur cuisante des coups de cravache, et je sens qu’il en injecte dans mon p’tit trou avant d’y faire entrer tout doucement un des ses doigts. Je me crispe un peu, mais je finis par accepter cette intromission anale.
Dès que son doigt est entré, Guido recommence à me baiser bien à fond, prenant mes deux trous, sa bite dans ma chatte, un doigt dans mon cul. Chaque fois que sa bite arrive au fond de ma chatte, j’ai des frissons de plaisir qui courent le long de mon dos ! Que c’est bon. Je commence aussi à avoir de bonnes sensations au niveau de mon sphincter.
Si bien qu’au moment où Guido jouit dans le préservatif, une jouissance démente me déchire les entrailles, ruant comme une cavale en furie tant et si bien que nous basculons sur le côté. Hélas, Guido est sorti… mais je sens sa bite encore à moitié bandée dans le creux de mes fesses. En moi-même je pense : quel baiseur ! Il ne fait pas mentir la réputation des italiens…
Nous restons ainsi cinq bonnes minutes. Guido a une main passée sous mon torse et il emprisonne un sein dans le creux de sa main. Je resterais bien des heures comme cela mais il doit se sauver pour ne pas éveiller les soupçons de sa femme. Il est censé faire les comptes du restaurant…
Guido me quitte en disant qu’il reviendra le lendemain soir mais qu’il ne sera pas utile de casser de la vaisselle et qu’il s’occupera d’agrandir mon p’tit trou ! Je passe une nuit sereine tant j’ai bien joui entre les bras de Guido.
Le lendemain, j’arrive la première à l’office où se trouve déjà Mme Maria qui m’accueille avec un petit sourire narquois :
« Montre-moi comment Guido t’a fessée ! Trousse ta jupe que je vois tes fesses ! »
Je ne peux que m’exécuter.
« C’est bon ! J’étais fatiguée ! Il a bien fait son travail. »
Si elle savait ! Elle n’imagine pas (ou elle fait semblant de l’ignorer) qu’après m’avoir cravaché les fesses, son Guido de fils m’a fait jouir comme une catin…
La journée se passe rapidement car nous avons de plus en plus de monde, aussi bien le midi que le soir. Lorsqu’à près de minuit, je regagne ma chambre sous les combles en compagnie d’Anja, nous sommes l’une et l’autre bien fatiguées. Une bonne nuit de sommeil nous fera du bien… mais je sais aussi que Guido va me rejoindre…
J’ai à peine eu le temps de prendre une douche après Anja, que Guido entre dans ma chambre. Il porte une trousse qu’il pose sur mon lit avant de m’enlacer :
« Alors, Sidonie, tu veux toujours que je t’ouvre ton p’tit trou ?
- Oh oui Guido ! J’ai envie ! J’ai déjà eu un peu de plaisir hier soir quand tu y as mis ton doigt. »
Pendant qu’il m’embrasse, il fait glisser le peignoir de bain sous lequel je suis nue avant de se déshabiller à son tour. Il passe une main dans ma fourche intime et agace mon clitoris et de l’autre, glissée entre mes fesses, il cherche mon petit trou pour le titiller. Sous cette double caresse, je frémis et je sens ma chatte se liquéfier.
« Mets-toi en levrette, ce sera plus facile ! »
Je me place aussitôt comme Guido le souhaite. Dans le miroir au dessus du lavabo, je découvre mon image, obscène mais oh combien pleine d’érotisme avec Guido à genoux entre mes cuisses, nu et la bite dressée.
J’entends coulisser le zip de la trousse, et Guido me dit soudain :
« Ne crains rien, tu vas voir cela va se passer en douceur. Je vais injecter du baume apaisant dans ton cul et ensuite, je glisserai un gode gonflable pour dilater doucement ta rondelle.
- Oui, vas-y ! J’ai confiance et j’ai envie ! »
Dès que le baume est dans mon sphincter, Guido introduit un doigt, puis deux. Il m’explique ce qu’il me fait et cela a le don de m’exciter encore plus. Lorsqu’il fait entrer l’extrémité du gode, c’est déjà un peu plus sensible et il doit s’y reprendre à plusieurs fois pour le faire pénétrer à fond.
« Laisse-toi aller ! Détends-toi et tu verras que tout ira bien. »
Il laisse ainsi le gode en place et de sa main libre, il caresse alternativement mes seins dont il pince doucement les tétons avant de revenir glisser un ou plusieurs doigts dans ma chatte qui ruisselle littéralement.
Puis Guido actionne la pompe et je sens le gode gonfler dans mon cul. J’ai l’impression que ma rondelle va éclater mais que c’est bon… de sentir cette présence souple et dure à la fois dans mon p’tit trou.
Au bout de quelques minutes (j’ai complètement perdu la notion du temps), Guido dégonfle un peu le gode et il le fait coulisser pour habituer mon œillet au passage d’un objet aussi volumineux, puis au bout de quelques temps encore, il retire le gode et le remplace par un Plug anal en silicone translucide dont la partie étroite épouse mon anneau plissé alors que la collerette reste à l’extérieur.
Guido m’explique que c’est pour mieux m’habituer à une présence dans mon fondement. Je dois le garder jusqu’au lendemain soir et qu’il viendra me le retirer lui-même. Avant de me quitter cette nuit là, Guido m’a fait l’amour, un peu rapidement à mon gout, mais il m’a quand même bien fait jouir, tant j’étais excitée de tout ce qu’il m’avait fait au cours de la soirée.
Le lendemain, c’est au tour de Carmela, une des serveuses logeant à l’extérieur, d’être punie pour avoir renversé un plat au moment où elle servait une table de clients. Je n’entre pas dans les détails, mais elle a dégusté… Et moi, j’ai été privée de la présence de Guido qui, cependant, m’a glissé discrètement un Plug anal plus gros que celui que j’avais porté toute la journée :
« Mets le ce soir ! Je ne peux pas venir, ma femme m’attend ! »
Comme chaque jour, je prends ma douche après Anja car j’aime assez me prélasser sous le jet tiède, laissant l’eau sinuer doucement entre mes seins ou dans ma raie fessière. J’en profite pour retirer le Plug que je porte depuis 24 heures… avant de regagner ma chambre. Soudain on frappe à la porte et Anja me demande si elle peut entrer. Sans penser à quoi que ce soit, je la fais entrer et elle découvre sur mon lit les deux plugs en silicone :
« Oh coquine ! Tu m’en prêtes un pour cette nuit ? »
Je rougis quelque peu mais depuis que Guido nous a baisées toutes les deux en même temps, je ne vois pas ce qui m’arrêterait. L’une comme l’autre, nous sommes en peignoir de bain et j’imagine qu’Anja est aussi nue que moi en dessous...
« D’accord mais nous allons le mettre mutuellement. Guido m’a dit de porter le plus gros pour m’habituer.
- Pas de problème ! Je vous ai entendus hier soir ! J’avais envie de vous rejoindre mais j’étais vannée…, »
Aussitôt nos peignoirs glissent jusqu’au sol et nous nous allongeons tête-bêche sur le lit. De mes doigts, j’écarte les lèvres roses de la chatte d’Anja qui ne proteste pas et je fais saillir son clitoris. Je le fais rouler doucement avant de glisser le Plug dans sa rondelle qui l’absorbe d’un seul coup. De son côté Anja souffle sur mes lèvres intimes. Je ne tarde pas à mouiller et soudain, je sens sa langue parcourir ma fente et le Plug chercher l’entrée interdite.
« Oh oui ! Viens sur moi, je vais t’en faire autant ! »
Nous nous mettons dans la position de 69, et je relève ma tête pour venir laper la chatte de ma copine ! C’est parti pour un 69 saphique qui s’avère particulièrement délicieux tant cette belle allemande sait y faire pour m’amener jusqu’à la jouissance. Introduisant quatre doigts réunis dans son vagin, Anja jouit à son tour, m’inondant d’une cyprine abondante.
Lorsque nous reprenons nos esprits, nous bavardons longuement, tendrement enlacées dans mon lit où elle finit la nuit. Anja m’apprend qu’elle est totalement bisexuelle, adepte de la sodomie et des partenaires multiples, hommes ou femmes et que de temps à autre elle va s’exhiber dans des clubs libertins où elle exécute des danses lascives à la perche. Bien évidemment, elle se fait baiser aussi !
Lorsque nous prenons notre service, nous ne sommes pas très fraiches mais çà va pour le mieux. La journée se déroule paisiblement. Quand je croise Guido dans la resserre aux vins, il me pelote les seins et les fesses en me disant combien il a envie de me sauter… et de m’enculer :
« Tu vas voir comment je vais t’ouvrir le cul ce soir ! Ma bite a faim de ta rondelle serrée ! »
Je remonte dans ma chambre un peu plus tôt que d’habitude car le service s’est terminé de bonne heure : le mauvais temps a fait fuir les touristes… aussi, pour une fois, je passe la première à la douche. Je suis à peine revenue dans la chambre que Guido frappe à la porte et entre avec un sourire radieux. Il porte sous le bras la petite trousse qu’il l’avant-veille. Dès qu’elle est posée au pied du lit, Guido m’enlace et fait glisser le peignoir.
Une fois encore, je suis nue dans ses bras. Je sais que ce que nous faisons est exclusivement sexuel. Il n’est pas question d’un quelconque sentiment. Il est là pour me baiser et me convertir à la sodomie. Je ne demande que cela !
D’une main, il agace alternativement mes tétons et mon clitoris et il fait courir l’autre dans mon dos, ouvrant au passage ma fente et découvrant le Plug dans mon sphincter :
« C’est bien ! Tu es une bonne fille ! Tu l’as gardé toute la journée !
- Oui ! Je l’ai juste enlevé pendant cinq minutes ce matin et je l’ai remis aussitôt.
- Mets-toi à quatre pates sur le lit et montre moi ton cul ! »
Pendant que je prends la position, Guido se met nu également. Sa bite pointe vers le haut, j’ai envie de l’emboucher pour achever de la faire bander mais je crois que ce n’est pas encore le moment. Il me rejoint sur le lit et retire le Plug de mon cul en me disant :
« Je vais te fister à trois doigts avec du gel lubrifiant pour en mettre plein ton p’tit trou, comme cela ma bite glissera bien et tu n’auras pas mal. »
C’est vrai que comparativement aux doigts de Guido réunis, le diamètre du Plug était bien plus gros. Je suis étonnée de voir que mon anneau plissé s’est assoupli au point d’absorber un sextoy de près de six centimètres de diamètre. Je suis impatiente de sentir le sexe de Guido dans ma gaine étroite. Je sais que désormais je n’aurai pas de douleurs lorsqu’il me pénétrera avec sa bite longue et fine.
Il continue de masser mon sphincter avec ses doigts, caressant aussi mon périnée et l’entrée de ma chatte qui ruisselle tellement c’est bon et aussi, tellement je suis excitée, dans l’attente de ces nouvelles sensations : je vais être sodomisée. Si j’en crois ce que m’a dit Anja, je vais éprouver beaucoup de plaisir et, m’a-t-elle dit, cela va m’ouvrir de nouveaux horizons. Mais elle n’a pas précisé lesquels…
« Ça y est, tu es bien ouverte et bien lubrifiée ! Tu es toujours partante ?
- Oh oui ! Je n’attends plus que çà ! Encule-moi ! »
Aussitôt Guido se couvre et vient entre mes cuisses. Il pose une main sur mes reins et de l’autre il dirige sa pine que je sens entrer doucement dans mon cul. Je frémis de désir et d’excitation tant je suis impatiente.
« Ça y est ! je suis au fond de ton cul ! »
Oui, je le sens ! Son ventre est au contact de mes fesses et je n’ai pas mal. J’ai juste senti la progression de sa queue dans ma gaine étroite. Waouh ! Que c’est bon ! Quand Guido commence les va-et-vient, je me liquéfie littéralement. Ma cyprine sort dans ma chatte et je ne peux m’empêcher d’aller mettre ma main sur ma fente. Mon plaisir monte, monte, des frissons courent le long de mon dos, remontent jusqu’à mes épaules. Mes tétons sont dardés comme jamais ! Tout mon corps est en fusion.
Guido va doucement, attentif à mes réactions et au moment où une jouissance démentielle me déchire les entrailles, il se lâche à son tour. Je sens les giclées abondantes au fond du préservatif. Qu’est ce qu’il m’a mis !
Dès qu’il sort de mon cul, Guido m’embrasse ! Il ne l’a jamais fait, se contentant de me peloter et de me baiser.
« Merci Sidonie de m’avoir donné ton cul ! Tu verras, ce sera de plus en plus bon et tu seras comme ma femme : tu ne pourras plus te passer de te faire prendre par derrière. »
Quelques jours plus tard alors que sa femme est à la clinique pour accoucher, Guido vient me retrouver dans ma chambre après avoir appelé Anja à nous rejoindre. Cette nuit-là nous nous offrons une partie à trois dont je me souviens encore. C’était chaud ! C’était réellement ma première partie avec un couple de partenaires.
Les deux mois ont passé vite. Chaque semaine, Guido venait nous baiser (et nous sodomiser) alternativement. Il avait pris ses habitudes : Anja c’était le mardi soir et moi le jeudi soir, et nous n’avions plus besoin de casser de la vaisselle pour nous faire fouetter, plus par jeu pervers où la cravache était appliquée, mais juste pour nous mettre en condition. Personnellement, je me découvrais des tendances masochistes… auxquelles je me laissais aller.
A suivre.
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Chloé au chantier
Il est midi, et Chloé, jeune étudiante d’à peine vingt ans s’ennuie. Ses cours à la fac d’architecture sont terminés pour la journée et elle ne sait que faire du reste de sa journée. Chloé a deux passions, la danse et son futur métier. Elle aime imaginer les millions de choses que l’on peut faire dans une maison moderne et bien agencée, et à ces moments, des pensées coquines envahissent son esprit et lui font monter la température. On pourrait penser qu’elle aime avoir des relations sexuelles avec les bâtiments…
En général, quand elle a du temps à perdre, elle aime se balader sur les chantiers, voir de près le travail de ses futurs confrères. Aujourd’hui, elle a donc prévu de se rendre sur le chantier du futur centre commercial se trouvant en bordure du boulevard périphérique au nord de la ville. Elle enfile rapidement une petite jupe légère, ses ballerines préférées et un boléro pris au hasard dans ses tiroirs. Elle prépare un petit sac avec un casque de chantier au cas où elle rencontrerait quelqu’un qui risquerait de la surprendre dans cet endroit interdit au public.
Une fois arrivée sur les lieux, Chloé descend de son scooter, se glisse entre les barrières entrouvertes et se dirige vers l’accès menant aux sous-sols. Elle arrive dans ce qui sera le futur parking. Les protections métalliques de ses talons claquent sur le béton du sol. Dans un coin, la lumière entre par une fenêtre dans une cage d’escalier. Elle monte discrètement au premier niveau, enfile son casque et sort sur le palier. Elle arrive dans un grand hall ou se trouve les niches des différents commerces. Tout est vide, les ouvriers devant sans doute être en pause déjeuner.
Heureuse d’être seule dans cet espace libre, elle range son casque, pose son sac au pied d’une colonne et commence sa visite. Sa main caresse le marbre rose de ce qui pourrait être plus tard le mur d’un magasin de lingerie fine ou d’une bonbonnière de luxe. Le froid de la pierre lui fait pointer des seins. Ses tétons poussent les tissus de façon très agressive. Le frottement contre ces petits bouts de chair lui donne des frissons. Le reflet dans le verre d’un comptoir lui renvoie l’image d’une très jolie femme. Ses seins menus, mais bien ronds et aux tétons pointus lui rappellent les statues des déesses romaines. Ses hanches fines trahissent ses origines latines. Elle passe de longues minutes à admirer ses courbes qui font parler d’elle sur tout le campus.
Tout en se regardant, elle enfile ses oreillettes et met en route son lecteur MP3. Sur le rythme cadencé de Lady Marmelade, Chloé se met à danser et se déhancher comme elle aime. Sa beauté explose dans les miroirs des allées. Le bruit de ses pas sonnent et rebondissent sur les grandes marches menant à l’étage supérieur. Sa voix monte vers la verrière qui laisse entrer la lumière du soleil. Elle danse comme ses danseuses de cabaret qu’elle aime bien aller voir le soir après ses cours de conduite.
Dans son élan, elle entre dans un box aux murs couvert de cuir. Elle se penche vers un ventilateur posé au sol, sans doute pour sécher les colles et vernis, l’allume et se plante devant, les jambes écartées et s’amuse de voir sa jupe se soulever par la force du vent. Le frottement du vent entre ses cuisses et contre son intimité l’excite. Elle ferme les yeux et jouit de ce moment. Elle se retourne, fesses face à l’appareil et commence à se caresser, doigts contre le tissu de sa petite culotte en coton. Elle entrouvre les yeux et se rend compte qu’elle a un spectateur. Un homme, viril, suffisamment âgé pour être son père la regarde la main sur la braguette. Le show semble lui faire de l’effet.
Chloé ne semble pas impressionnée par l’homme qui l’observe. Il jette un œil par-dessus son épaule et entre dans le magasin. La danseuse continue à se trémousser en écoutant sa compilation de tubes préférés. Le visiteur met sa main à l’intérieur de son bleu de travail tout poussiéreux et se donne discrètement du plaisir. Chloé encore plus excitée de cette visite imprévue, se cambre autant que possible pour offrir la meilleure vue possible de son corps à son spectateur. La beauté juvénile de Chloé fait son effet, l’homme s’assoit sur une pile de cloisons d’isolation et sort son sexe, dur comme une barre d’acier, mais courbée comme un robinet d’évier de cuisine. Intriguée par la forme de l’engin, elle s’approche, se met à quatre pattes et passe une délicate langue sur le bout de son gland, qui semble être cassé ou plié. Elle embrasse le membre du maçon puis l’enfourne dans sa bouche humide et chaude. Le maçon, surpris, se laisse faire et profite des douceurs de la jeune fille.
Tout ceci a réveillé l’appétit de Chloé, elle le pousse à se coucher sur les plaques d’isolant, le chevauche et en écartant le coton de sa culotte, permet au sexe de l’homme de toucher son jardin intime. Le gland recourbé a du mal à pénétrer la chatte pourtant bien trempée de Chloé. Sa forme lui donne une largeur impressionnante. Une fois le gland passé, Chloé se sent envahie et secouée de décharges d’énergie sexuelle à chaque centimètre de progression en elle. Les ongles plantés dans sa veste, elle se laisse descendre sur le membre courbé de son maçon. Une fois qu’elle le sent arriver au fond, elle remonte et répète le mouvement. Le plaisir grandit en elle, elle accélère le mouvement. A califourchon sur un inconnu, au beau milieu de ce qui semble être une future cuisine, la jeune étudiante s’envoie en l’air comme dans le plus fou de ses rêves, sur un chantier en cours de réalisation.
Les claquements de chair et les froissements de tissus se font de plus en plus présents dans le hall dallé de carrelage et de marbre. Les petits cris de Chloé, de plus en plus sonores, se font entendre à tous les étages. Toute discrétion étant évanouie, un des collègues du maçon apparait à travers la vitrine. Il ne se fait pas prier pour entrer et participer à la fête. Tout en regardant le postérieur de Chloé monter et descendre sur le sexe de son camarade, il sort son sexe et se masturbe, ravit du spectacle.
D’autres ouvriers se massent maintenant devant la vitrine et en font autant à leur tour. Chloé tend une main vers le voyeur le plus proche d’elle, l’attrape par le sexe et le tire vers elle. Pour étouffer ses cris, elle attrape la verge de ce dernier et l’amène à sa bouche pour le sucer goulûment.
Des cris et des sifflements de soutien fusent et montent de toute part. Le centre commercial ressemble à un stade un jour de match. Toute cette clameur enflamme les sens de Chloé qui jouit bruyamment et se crispe sur le membre qui l’envahit encore de l’intérieur. Son vagin se contracte, ce qui a pour effet immédiat de déclencher l’orgasme du premier maçon. Revenant à ses esprits, elle se relève, ramasse ses affaires et s’enfuit sous les applaudissements des ouvriers revenus sur leur lieu de travail.
Chloé, une fois arrivée chez elle, gare son scooter, encore toute gênée de s’être montrée en spectacle, mais malgré tout heureuse de cette nouvelle expérience. Une fois descendue de sa monture, elle se rend compte qu’une tache humide orne le cuir de sa selle, dernier souvenir éphémère de sa témérité du jour. Le sourire aux lèvres et la culotte trempée, elle rentre chez elle prendre un bain et faire ses devoirs.
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Fille au pair
Chapitre I – Séjour à Londres.
Agée de vingt ans depuis le printemps, je viens de passer un an à Barcelone où pour me perfectionner dans la langue de Cervantès, j’ai trouvé une place de fille au pair dans la famille d’un ingénieur catalan. Je dois y retourner pour une seconde année à partir de septembre.
Issue d’une fratrie de quatre enfants, je suis Sidonie, la plus jeune. A trente ans, ma sœur ainée a émigré au Canada avec son mari et leur bébé l’an passé. Mes deux frères jumeaux de vingt-huit ans sont entrés dans la vie active, chacun avec un diplôme d’ingénieur, l’un en électronique, l’autre en électromécanique. Ils ne sont pas mariés mais vivent avec une copine depuis quelques temps déjà.
Pour une fille, je suis plutôt grande car je mesure près d’un mètre quatre vingt. Très brune de par mes origines hispaniques, j’ai une poitrine plutôt menue mais avec des tétons très sensibles et proéminents et des hanches étroites sous une taille fine.
Au cours de mes études au lycée, j’ai fait plusieurs séjours linguistiques en Angleterre avec mes classes et je suis allée passer deux mois à Londres en juillet et août avant d’entrer en classe de terminale. En trichant sur mon âge, j’avais trouvé une place de serveuse dans un restaurant italien.
Si pendant ces deux mois, j’ai pu me perfectionner en anglais, je me suis aussi pas mal dévergondée avec le patron du resto qui était un chaud lapin. Je n’étais pas une oie blanche mais c’est véritablement avec cet homme que j’ai découvert les joies du sexe et les diverses facettes de ma sexualité.
En fait, je n’étais déjà plus vierge depuis longtemps. J’avais sauté le pas l’été de mes 16 ans avec un garçon de mon âge au cours de vacances en famille sur la Côte d’azur. Nous nous étions rencontrés à la discothèque du village de vacances où il séjournait aussi avec ses parents.
Nous avions dansé et flirté pendant plusieurs soirées avant de nous retrouver l’avant dernier soir du séjour pour faire l’amour au clair de lune au milieu des pins. Il savait y faire car pour me déflorer, il a été très doux et il a su me donner beaucoup de plaisir lors de notre seconde étreinte. Mais l’un comme l’autre, nous étions conscients que ce ne serait d’un amour d’été…
Depuis, j’ai fait l’amour avec pas mal de garçons de mon âge et j’ai même eu une relation saphique pendant six mois avec une fille de ma classe. Sous prétexte de réviser le bac de français, nous nous retrouvions dans sa chambre pour nous caresser et nous donner mutuellement du plaisir avec un gode à double tête découvert dans les affaires de sa mère.
Mais revenons aux deux mois passés à Londres.
Lors d’un séjour avec mes camarades de classe au milieu de l’hiver précédent, j’étais allée dans une agence de placement où j’avais déposé un dossier. J’avais sciemment modifié ma date de naissance pour être majeure… avant l’été. Lorsque j’ai reçu un mail de Guido, le patron du restaurant qui souhaitait m’embaucher, j’ai sauté de joie ! J’allais passer deux mois pendant lesquels je parlerais anglais tous les jours. Cela ne pouvait que m’être profitable…
En plus, je serais logée au dessus du restaurant dans une des chambres mise à disposition du personnel saisonnier, chose peu courante. Tout était donc parfait. Après un rapide trajet en train et un bref trajet en taxi, j’arrive devant le restaurant : bel établissement dans un quartier très touristique que je connais déjà un peu.
Je suis accueillie par une femme d’une bonne cinquantaine d’années aux formes rebondies. Coiffée d’un chignon strict, elle a un visage souriant et s’exprime dans un français teinté d’accents italiens : C’est Maria, la mère de Guido qui me souhaite la bienvenue ! J’ai appris plus tard qu’elle était la veuve d’un officier de l’Armée britannique dont elle avait fait connaissance lorsque ce dernier était basé à Naples.
Nous montons ensemble au second troisième étage. Elle m’explique que son fils et sa copine partagent le second où elle loge également dans un petit appartement indépendant. Ma chambre est spacieuse et je disposerai d’un cabinet de toilette privé. Pour la douche, je devrai la partager avec Anja, une autre serveuse saisonnière arrivée d’Allemagne la veille au soir...
L’une comme l’autre, nous commençons notre service le soir même. Heureusement, c’est le début de la semaine et il n’y a pas trop de monde dans les diverses salles du restaurant. Notre service en est d’autant facilité et nous nous habituons rapidement aux usages de la maison. Guido supervise le service, accueille les clients et sa mère trône à la caisse sur un siège haut. En cuisine et au four à pizzas, il y a trois autres personnes, toutes d’origine italienne.
Le restaurant ferme à minuit et après avoir rapidement débarrassé les tables, Anja et moi, nous regagnons nos chambres en échangeant nos premières impressions. Autant je suis brune par mes origines méditerranéennes, autant Anja est blonde. Grande fille à l’allure quelque peu délurée, elle a des cheveux longs noués en queue de cheval. De grands yeux bleus, un petit nez retroussé et des lèvres pulpeuses, des formes harmonieuses, je peux dire que c’est une belle fille.
Je suis un peu plus grande, brune de peau, des cheveux noirs coupés en carré court, j’ai de grands yeux bruns ourlés de longs cils. Mes lèvres sont naturellement rouges si bien que je me contente d’en souligner le contour. Ma silhouette est plutôt longiligne car je fais très attention à mon hygiène de vie, je mange peu et dès que je peux, je dépense mon énergie en faisant du sport.
Dès les premiers jours, je m’entends bien avec Anja. Nous avons les mêmes goûts musicaux et elle me fait découvrir des groupes allemands qui sont quasiment inconnus en France. Nous nous racontons aussi nos petits secrets intimes et un soir nous éclatons de rire en parlant du Guido, le fils de la patronne.
Anja me raconte comment ce coquin l’a coincée dans un coin des cuisines lors de la pause d’après midi et il lui a carrément proposé de coucher avec elle… De mon côté, j’avais vu qu’il me regardait avec insistance, lorgnant sans vergogne sur mes fesses étroitement moulées dans ma jupe courte et mes jambes gainées de fin bas de voile avec des coutures. Nous étions étonnées. Sa femme travaillait aussi dans le restaurant et sa grossesse déjà bien avancée devait peut-être la conduire à se refuser à Guido. Quant à lui, cela ne semblait pas le gêner outre mesure de nous faire les yeux doux.
L’une comme l’autre, nous n’étions pas là pour batifoler. Nous perfectionner dans la pratique de la langue et mettre quelque argent de côté, c’était notre but commun.
C’est le lendemain soir que tout a basculé. En débarrassant une table avec un plateau, Anja a fait basculer la vaisselle sur le sol de l’office et il y a eu pas mal de casse. Au moment où nous allons quitter l’office du restaurant pour regagner nos chambres, Mme Maria nous dit sur un ton sévère :
« Anja, tu vas avoir la punition que tu mérites. Il y a quatre assiettes et six verres cassés, tu vas recevoir dix coups de cravache sur les fesses. Monte dans ta chambre, attends nous avec Sidonie. »
L’une comme l’autre nous avions entendu parler de l’éducation anglaise mais jamais nous n’aurions envisagé que nous allions l’expérimenter. Mme Maria m’a dit d’assister à la punition d’Anja à titre d’exemple, comme cela, a-t’elle dit je ferais attention.
Cinq minutes plus tard, j’étais avec Anja dans sa chambre quand Mme Maria est entrée, la mine sévère, suivie de son fils et de sa belle-fille. J’ai immédiatement compris que ces derniers allaient assister à la punition d’Anja.
Mme Maria a commandé à cette dernière de se mettre à quatre pattes sur son lit et de trousser sa jupe sur ses reins :
« Dégage bien ton cul, tu vas voir ce que ça fait de casser la vaisselle. »
Avec pas mal de réticences Anja s’installe sur son lit et remonte sa jupe sur ses reins.
« Allons, pressons si tu ne veux pas que j’augmente le nombre de coups de cravache ! »
Dès qu’Anja est en position, Mme Maria fait siffler la cravache en cuir comme celle des cavaliers. L’extrémité est pourvue d’une large palette qui ne tarde pas à cingler les globes fessiers d’Anja qui tressaute à chaque fois… mais ne crie pas.
Je suis étonnée de me sentir échauffée par ce spectacle d’une fille en train de se faire fouetter. J’ai chaud. Les tétons de mes seins se tendent dans mon soutif et une douce chaleur envahit mon bas ventre au point que je mouille le fond de ma culotte.
Dès que les dix coups de cravache sont appliqués, Mme Maria et sa belle-fille quittent la chambre. Guido tarde quelque peu et je comprends pourquoi quand il sort de sa poche un tube d’onguent apaisant qu’il passe sur les traces laissées par les coups de cravache :
« Comme ça tu auras moins mal ! Demain tu ne sentiras plus rien ! »
En appliquant le baume, il fait glisser le string et passe sa main entre les cuisses d’Anja qui ne proteste pas. Guido accentue sa caresse en introduisant deux doigts dans la chatte légèrement poilue de ma copine qui soupire d’aise :
« C’est ta récompense pour n’avoir pas crié quand ma mère te fouettait ! Je vais te donner du plaisir. »
Voyant la tournure sexuelle que prennent les choses, je veux m’éclipser discrètement quand Guido dit sèchement :
« Ne te sauve pas Sidonie ! Fous-toi à poil, je vais t’en donner aussi ! »
Je me rebelle en entendant cet ordre mais Guido me vivement conseillé d’obéir si je ne voulais pas gouter aussi de la cravache de sa mère. Moins d’une minute après, je suis quasiment nue, je n’ai plus sur moi que ma culotte et mon soutif.
« J’ai dit « à poil », ça veut dire entièrement nue ! »
Je quitte mes sous-vêtements et constate que le fond de ma culotte est effectivement trempé de mouille. Guido s’approche de moi et pendant qu’il caresse mes seins, faisant dresser à nouveau les tétons, il ordonne à Anja de m’imiter. Rapidement nue à son tour, elle vient se placer à côté de moi en croisant ses mains sur son pubis duveteux.
Dans le miroir placé au dessus du lavabo, je peux nous apercevoir, la blonde aux formes un peu généreuses et la brune longiligne, soumises aux caprices lubriques d’un bel italien au sourire charmeur. Je suis prête à tout ce qu’il voudra…
Guido continue ses caresses. Quand il flatte les seins de l’une, il honore la chatte de l’autre en lui introduisant plusieurs doigts. Je ruisselle littéralement… J’ai chaud, mais c’est bon, je sens la jouissance monter… jusqu’au moment où Guido défait la ceinture de son pantalon qui glisse à ses pied, nous faisant découvrir, emprisonné dans son boxer un vit de belle taille.
Nous comprenons ce qu’il veut. Nous nous mettons à genoux devant lui et dans un bel ensemble, nous faisons glisser son boxer jusqu’aux chevilles. Nous l’aidons à se défaire de son pantalon et de son boxer et pendant que je malaxe ses couilles, Anja embouche le vit déjà bien bandé.
C’est chaud ! Nous nous partageons cette belle bite fine et longue. Quand une l’a en bouche l’autre lèche le tronc ou fait rouler les couilles dans sa bouche ou entre ses doigts. Pour moi, c’est une première. Je n’ai jamais eu qu’un seul partenaire, homme ou femme, en même temps.
Guido nous dit soudain :
« Ça suffit ! A genoux sur le lit toutes les deux en levrette ! »
Nous nous plaçons rapidement comme Guido le souhaite ! La menace de la cravache nous fait obéir promptement mais il ne semble pas vouloir s’en servir.
Dès que nous sommes en place, Guido caresse nos fessiers offerts à ses regards puis, il enfile un préservatif sur son sexe bandé. Laquelle des deux va-t-il prendre en premier ? Je suis tellement trempée de mouille qu’il pourra me pénétrer facilement. Pas de chance ! C’est Anja qui est baisée la première. En fait il nous baise alternativement, quelques allées-venues dans le sexe de l’une puis il continue dans le sexe de l’autre.
C’est très excitant d’entendre son ventre claquer contre le cul d’Anja alors que j’attends de subir le même traitement quelques secondes plus tard. Mon plaisir monte, monte de plus en plus et je l’exprime à haute voix ce qui excite encore plus Guido qui désormais ne cesse de pilonner ma chatte à grands coups de reins en titillant mon œillet plissé du bout d’un doigt jusqu’à ce que la jouissance m’emporte.
Il n’a pas joui aussi passe t’il aussitôt dans la chatte d’Anja pour la baiser rapidement en la faisant grimper vers les sommets du plaisir en introduisant deux doigts dans son cul… qui les absorbe facilement quand, à son tour il jouit en même temps que ma copine...
Dès qu’il a fini, Guido se rhabille rapidement en nous conseillant de nous reposer mais surtout d’être discrètes : sa femme ne doit pas se douter qu’il baise en cachette toutes les serveuses du restaurant.
A suivre.
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Indomptable Sylvie
Sylvie, jeune étudiante de dix-huit ans, est à la limite de la délinquance, semant la terreur du lycée. Ses parents n’en sont pas maîtres, ne savent qu’elle attitude adopter avec elle. Un jour, tante Marie, belle femme de quarante ans, assiste à une violente dispute entre eux et la jeune file.
« Dis connasse, intervient brutalement Marie, tu pourrais avoir un peu de respect pour tes parents ! Tu as besoin d’être corrigée… viens passer une semaine chez moi que je te dresse… Ta mère est d’accord, et tu vas enfin apprendre l’obéissance !
- Oui tatie, sniffe Sylvie, qui a toujours craint sa Tante. Ne me gronde pas… je serai sage… obéissante… »
La jeune fille croise le regard sévère de sa tante. Elle prépare sa valise, et les voilà parties, sous le regard désolé de son père, qui est contre cette décision. Marie habite un petit mas sur les hauteurs de la ville, où il y a très peu de monde. Sylvie regagne sa chambre, range ses affaires. Après le diner, glacial, Marie lui ordonne d’aller se coucher. La jeune femme ne peut qu’obéir, mais elle a déjà une idée derrière la tête…
Le lendemain matin, Sylvie rentre dans la salle de bains, la croyant inoccupée. Elle surprend sa tante toute nue devant la glace.
« Que tu es belle tatie, complimente Sylvie, quels superbes seins tu as… Wouah !
-Tu trouves, sourit Marie, flattée. N’essaie pas de m’attendrir, rentre dans le bac que je fasse ta toilette. »
Un peu interloquée, Sylvie se déshabille et monte dans le bac, suivie de sa tante. Celle-ci savonne le dos de sa nièce. Bien décidée à faire craquer sa tante, la jeune fille passe un bras derrière son dos, et d’un doigt, frôle fa fente de Marie. Une fois, puis deux, puis trois.
« Dis polissonne, sursaute Marie, te gêne pas… qu’est-ce-que tu essaie de faire ? Tu me prends pour qui ? »
Sylvie écarte les lèvres intimes déjà gorgées de désir, et enfonce rapidement deux doigts dans la chatte de sa tante. Dans un ultime effort, elle la colle dos aux faïences. Marie se trouve coincée, tandis que les doigts entament des va et vient dans son ventre.
« Ah ! crie-t-elle, sors tes doigts de là… ah, petite salope… »
Sylvie parvient à enquiller son autre main. Deux doigts s’en prennent maintenant au clitoris qu’il décalotte. Les cris redoublent d’intensité. Marie, piégée, commence à s’abandonner aux caresses vicieuses de Sylvie. De toute façon, elle n’a jamais su résister aux choses du sexe. Son appétit féroce en la matière l’ont déjà conduite aux pires extrémités…
« S’il te plait, râle Marie, pas ça… qu’est-ce-que tu fais à mon petit bouton ? Et ma chatte, tu vas me la faire mouiller… arrête, s’il te plait… je dirai à ta mère que tu as été sage…
- Trop tard ma tante, répond Sylvie, c’est moi qui vais te dresser. On va bien s’amuser toutes les deux… Mes parents ne vont pas te reconnaitre quand tu vas me ramener. Allez, écarte tes jambes que je te branle maintenant que tu es pleine de mouille. »
Marie s’écarte au maximum pour que les doigts de sa nièce puissent pénétrer profond dans sa chatte.
« Oh oui ma chérie, gémit Marie. C’est bon ce que tu me fais ! Oui, bien sur mon clito… je jouis… hou… hou…
- Ben voilà, sourit Sylvie, triomphante. Rince-toi, je t’attends dans la chambre. Je vais faire de toi mon esclave sexuelle. »
Marie, tête baissée, rejoint sa nièce dans la chambre pour ce qui va être une nuit d’enfer. Elle la fait rouler sur le lit, gifle les cuisses, tire sur le bout des seins, frotte violemment les lèvres intimes les unes contre les autres. Elle pince et étire le clitoris. Marie hurle de douleur, pleure, supplie Sylvie d’arrêter ses tortures.
« Assez, assez, crie-t-elle. Je t’en supplie… pitié ! Aie, aie, aie… ça fait mal…
-Alors comme ca, u ovulais me dresser ? Eh bien, tu vas voir qui est la vraie maitresse, ici ! »
Sylvie est maitresse de la situation. Marie se soumet à nièce, totalement.
Dès le lendemain, La jeune femme prend une totale possession de sa tante, elle la bride dans tout, et’oblige à vivre selon ses règles à elle… Marie vit totalement nue. A la moindre incartade, c’est une volée de gifles qui s’abat sur ses cuisses, ou les sévices sexuels qui reprennent. Le dressage se poursuit sans faiblir pendant une semaine. La tante est maintenant totalement soumise à a nièce.
Un après midi, on frappe à la porte. Marie est plantée nue, au milieu de la pièce. On voit encore la marque des doigts sur ses fesses. Elle avait osé jouir avant sa maitresse, et Sylvie l’a punie comme il convenait. Cette dernière va ouvrir. Elle se trouve face à un charmant jeune homme d’une vingtaine d’années.
« Bonjour, j’ai un colis pour Madame Marie Dutertre.
- Merci, répond Sylvie, excusez-moi, je n’ai pas de pièces, mais j’ai mieux que ça…rentrez… tatie... tu viendras remercier ce jeune homme pour le colis… »
Sylvie demande à Marie de s’allonger sur la table, jambes écartées. De l’autre côté, sa tête est dans le vide. Sylvie demande au jeune garçon, totalement ébahi par la scène qui se déroule devant lui, d’ôter son pantalon. Il obtempère, trop heureux d’etre ainsi accueilli par deux belesl femme qui semblent lui offrir le paradis…
Elle lui saisit la bite, la branle, la suce jusqu’à ce qu’elle atteigne des mensurations respectables. Elle l’approche de la chatte, qui est tellement enflée d’excitation, qu’elle ressemble à un abricot joliment fendu.
« Vas-y, fait Sylvie, n’aies pas peur d’y faire mal, elle en a déjà pris des coups de queues celle là... Hein tatie ?
- Ah ah, gémit Marie, tu es méchante… me faire niquer par un gamin ! Mais ça fait si longtemps que je ne me lui suis pas fait mettre… Vas-y mon garçon, amuse-toi… Fais-moi plaisir aussi ! »
Le jeune livreur enfile sans un mot le vagin accueillant, et entame une série de coups de boutoirs de plus en plus violents. Sylvie veut profiter de la situation. Elle quitte son treillis, fait le tour de la table. Elle écarte ses lèvres intimes déjà humides, et vient les poser sa chatte sur la bouche de sa tante, puis lui vrille le bout des seins.
« Allez tatie chérie… bouffe la cramouille de ta nièce… fais-la jouir… elle a bien le droit de participer elle aussi ! »
Sylvie sent le jeune livreur donne des signes de faiblesse. Il ne semble pas habitué à de telles affamées de sexe ! A regret, Sylvie échappe à la bouche gourmande de sa tante, et le tire le jeune home par le bras. Elle le fait venir de l’autre coté de la table, et place d’autorité le zob, devant les lèvres de sa tante.
« Ouvre, sale pute, suce lui le dard. Et tu as intérêt de tout avaler… C’est à mon tour après de me faire niquer… »
Marie avale en une splendide gorge profonde, la queue bien raide du jeune homme. Il baise la gorge à fond, se préoccupant peu de l’étouffer ou pas. Pendant ce temps, Sylvie fourrage dans la chatte distendue de sa tante. Elle parvient à y entrer quatre doigts de la main, arrachant au passage un cri de douleur à Marie. Mais elle n’en na cure…
« La prochaine fois, je te fiste en entier.. et tu n’auras pas intérêt à crier, tatie ! »
Le livreur jouit dans la bouche de la ante, qui avale la purée épaisse sans sourciller.
« Maintenant, refais-le bander, je veux aussi de sa bonne bite !
-Oui ma chérie, je le fais de suite… »
Sans que le jeune homme ait eu le temps de protester, il reçoit une magistrale caresse buccale, qui le refait durcir en quelques secondes... A cet âge, on récupère vite !
Quand il a atteint une taille respectable, Sylvie fait assoir sa tante sur le sol, dos au canapé, puis se positionne en levrette au-dessus d’elle. Elle ordonne :
4toi, gamin, vient me baiser, et toi, taie, bouffe-moi la moule en même temps… »
Aucun des deux ne discute ses ordres, et le trio se met en place. Pendant de longues minutes, le jeune homme lime la jeune femme, et Marie dévore la chatte, les yeux exorbités par la queue qu’elle voit coulisser à quelques centimètres de ses yeux. D’une main restée libre, elle se branle avec vigueur… Sylvie halète, crie, et jouit plusieurs fois…
Dans un accord presque parfait, elle jouit une dernière fois quand le livreur se vide dans sa grotte trempée. Tatie avale le nectar qui coule…
Au final, les deux femmes ont au plusieurs orgasmes, le jeune livreur a baisé les deux femmes, éjaculé à deux reprises, ce qui n’était pas prévu dans sa tournée. Il quitte la pièce, fier de lui.
Après ses petites gâteries, le dressage de Marie reprend. Pendant une nouvelle semaine, sévices et brimades sexuels s’enchainent sans répit… Lors des sorties dans la forêt, elle promène sa tante nue, les mains sur la tête. Sylvie la fait avancer à coups de branches épineuses sur les fesses, qui ne tardent pas à rougir. Il lui arrive aussi de la plaquer contre un arbre, ou l’asseoir sur un muret.
Là, elle la doigte, la branle, la fait mettre à quatre pattes, lui enfonce deux doigts dans le cul pour la faire avancer. Elle profite d’elle jusqu’à la dernière goutte de cyprine. La chatte de Marie ressemble à une fontaine, la fente ne se referme plus, le clitoris ne rentre plus dans sa cage. La femme de quarante ans est humiliée, soumise à sa nièce, une gamine de dix huit ans, qu’elle avait décidé de dresser. Sylvie, débordante d’imagination, se sert d’elle comme d’un jouet, la fait saillir par tous les hommes qu’elles croisent, et qui disent oui... et même par un berger de passage, dont le chien de garde lui lèche la chatte. Pendant que l’homme la sodomise brutalement.
La seconde semaine est finie, mais pas le supplice. Le jour est venu de rentrer à la maison. C’est Roger, le père, qui ouvre la porte. Il reste scotché devant le spectacle qui s’offre à lui : sa fille chérie, Sylvie tient une laisse. Au bout, à quatre pattes et entièrement nue, sa belle sœur, Marie. Roger remarque des épingles à linges accrochées au bout des seins, de même que le clitoris décalotté.
« Bonjour papa, sourit Sylvie, je me suis fait un petit cadeau. Elle est bien dressée tu sais, n’est-ce pas ma chienne… Qu’est- ce- qu’on a promis à sa maitresse, hein ? Qu’on taillerait une bonne pipe à son beau-frère. »
Roger, qui a toujours été contre l’idée de faire dresser sa fille par Marie, est aux anges. Il ne se fait pas prier pour sortir sa bite. Lentement, il la décalotte pour sortir le gland de son fourreau.
« Allez, petite garce, viens me sucer, et t’avise pas de mordre, ta maitresse te surveille. »
Roger sent sa queue qui frétille dans la bouche de sa belle sœur. Il prend plaisir à se vider copieusement les couilles au fond de sa gorge. Quelque part, il venge sa fille adorée.
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