Les Mémoires très Libertines de Sophie
Retrouvez-moi....
Je vous y attends très vite et très nombreux !
Bises libertines,
Votre Sophie
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Comment je suis devenue échangiste....
Comment je suis devenue échangiste.
Avec mon copain Jonathan, nous formons un couple à la fois très libre mais très uni. Nous travaillons tous les deux dans des entreprises voisines sur l'aéroport de Roissy. Nous nous sommes rencontrés il y a deux ans lors d'une fête organisée peu avant Noël pour rassembler les personnels des entreprises « à taille humaine » du secteur.
J'avais tout de suite flashé sur lui, grand gaillard brun à la carrure de rugbyman avec ses cheveux bouclés et un sourire éclatant.
Après les fêtes de fin d'année, nous nous sommes croisés à plusieurs reprises sur le parking commun aux deux entreprises et nous avons sympathisé. Nous sommes sortis plusieurs fois en boite pour danser et nous avons chaque fois fini la nuit ensemble chez lui ou chez moi.
Finalement, j'ai quitté mon minuscule studio pour le rejoindre dans son appartement où nous partageons les frais. Grande brune également à la silhouette longiligne, je suis cependant pourvue d'une poitrine rebondie (85 C) qui attire l'attention. Tous deux âgés de trente ans, nous vivons confortablement avec des salaires plus que corrects.
Amant inventif et infatigable, et moi gourmande de sexe, nous étions faits pour nous entendre d'autant qu'à l'époque j'étais déjà quelque peu exhibitionniste. Sur la plage, je me balade toujours avec des bikinis réduits à se simples triangles ou bien les seins nus.
Dans l'appartement je suis souvent en petite tenue, petit string et soutien gorge à demi bonnet mais en ayant toujours quelque chose à enfiler si quelqu’un venait à sonner à la porte. J'ai la chance d'avoir une poitrine ferme qui excite bien Jonathan.
Nous avons passé un marché : en cas d'aventure, celle-ci doit rester sans lendemain et nous devons nous la raconter dans ses moindres détails. Jusqu'à présent, cela ne nous est pas arrivé mais, c'est à la suite de ce que je vais vous conter que nous avons véritablement basculés dans le libertinage.
Ce matin là, mon copain était parti travailler plus tôt car il devait veiller à la bonne organisation d'une expédition importante et délicate. De mon côté, je bénéficiais d'une journée de repos et je me sentais en manque de sexe.
Nous avions fait l'amour la veille mais il m'en fallait encore. Je suis allée chercher dans la chambre un sextoy acheté récemment par correspondance et que je n'avais pas encore essayé car il était arrivé la veille.
J'attendais une soirée torride avec mon copain pour le sortir mais je n'ai pas su résister. C'est un gode double avec deux bites, une assez grosse et une plus fine. Muni d'une ventouse à la base des couilles qui abritent le mécanisme vibratoire, je l'ai collé sur l'angle de la baignoire. J'ai injecté dans mon cul une bonne dose de gel lubrifiant et je me suis empalée, une bite factice dans chaque orifice.
J'avais choisi la bonne hauteur pour le fixer et j'ai commencé les va-et-vient pour le faire coulisser dans mes deux trous. Devant, j'étais bien remplie et derrière, je ne vous dis pas, quel plaisir de sentir la bite factice entrer et sortir de mon sphincter plissé tout en ressentant les vibrations. Soudain, alors que je sentais ma jouissance monter, j'ai entendu une voix :
« Alors Sylvie, on se fait plaisir ? »
C'était mon copain qui était repassé par l'appartement et m'avait surpris dans cette situation.
« Continue ! », me dit-il alors en ouvrant la braguette de son pantalon pour sortir sa bite à moitié bandée.
Il devait m'observer discrètement depuis quelques minutes.
Il s'est approché de moi pour que je puisse le prendre en bouche. Je massais ses bourses d'une main en suçant sa bite et je continuais à faire les va-et-vient sur mon sextoy. Mon plaisir a éclaté soudain et j'ai continué à sucer Jonathan jusqu'à ce qu'il crache son sperme dans ma bouche et sur mes seins. Il s'est rajusté et nous sommes allés boire un café dans la cuisine. Le soir nous avons reparlé de cette scène.
Jusqu'à présent, mon copain m'avait sodomisée à plusieurs reprises et il n'était pas le premier. Déflorée à quinze ans, ma première sodomie, je l'avais eue à seize ans peu après mon anniversaire ! C’est un de mes professeurs du Lycée qui m’a initiée à l’issue d’un des cours particuliers que je prenais à son domicile. A quarantte ans passés, il était expérimenté et il avait sur être si doux que j’ai pris goût à la sodomie, si bien que j’ai toujours livré mon petit trou assez facilement.
Depuis le jour où mon copain m'avait surprise, il était assez fréquent que lorsqu'il me baisait, il utilise un gode pour le second orifice pour une double pénétration, qui lors de la jouissance, me déchire littéralement.
Puis un samedi soir, Jonathan m'a emmenée dans le centre de Paris pour, m'a-t'il dit « une sortie surprise ». Ce coquin m'a conduite dans un club libertin. Je savais que cela existait, je ne suis pas naïve mais je n'avais jamais fréquenté ce genre d'établissement.
Lorsque nous sommes arrivés vers vingt-trois heures, il y avait beaucoup de monde au bar. Nous avons dit à la barmaid qui officiait les seins nus que nous venions pour la première fois.
Elle a alors appelé une des hôtesses avec laquelle nous avons fait les formalités d’adhésion au club pour l’année en cours. Elle nous a ensuite fait découvrir les salons et autres installations diverses comme le jacuzzi et le sauna.
Elle nous expliquait le fonctionnement et les diverses obligations (toujours porter des préservatifs - il y en avait partout dans les salons - ne jamais forcer quelqu'un à faire quelque chose qui ne lui conviendrait pas, etc.).
Elle me dit à un moment que la robe que je portais n'était pas très appropriée à ce genre d'établissement car trop difficile à enlever aussi, elle me demanda de la suivre dans le vestiaire où je pourrais revêtir une tunique à l'ancienne comme celle qu'elle portait.
Elle laissa à Jonathan le choix de rester avec son boxer ou de revêtir une tunique identique, nouée par des cordons sur les épaules avec une ceinture en sangle. Cette tenue était très pratique et presque tous les coquins qui n’étaient pas entièrement nus la portaient.
C’était très pratique, comme cela on n’avait pas besoin de se soucier de nos vêtements qui étaient en sureté avec nos papiers d’identité et chéquier.
Nous nous sommes changés et nous avons rangé nos vêtements dans des casiers prévus à cet effet avant de gagner le grand salon au centre duquel trônait un immense lit podium rond sur lequel s'ébattaient plusieurs couples. Ils se mélangeaient allègrement en changeant fréquemment de partenaires.
Nous avons joué les voyeurs pour nous mettre dans l'ambiance. Jonathan s'était collé derrière moi en me tenant par les hanches et je sentais sa bite en érection entre mes globes fessiers. Je bougeais imperceptiblement des hanches pour le masser dans ma raie.
D'autres observaient, une main titillant un sein au téton dardé ou fourrageaient dans l'entrejambe de leur complice du moment.
Nous sommes ensuite passés dans un petit salon meublé de deux vastes fauteuils avec des accoudoirs assez hauts, d'une sorte de sellette allongée et dont les pieds étaient munis de sangles.
Il y avait déjà un couple nu, l'homme âgé de cinquante ans au moins, avec une silhouette très mince avec des muscles finement dessinés, était en train de baiser une femme beaucoup plus jeune attachée à plat ventre sur la sellette.
Il faisait de lents mouvements de va-et-vient dans sa chatte. Nous avions envie de baiser ensemble pour notre première fois. Nous avons ôté nos tuniques et mon copain m'a fait mettre en appui sur l'accoudoir d'un des fauteuils.
Ce n'était pas véritablement la position de levrette, mon bassin était juste à la bonne hauteur pour que mon copain me prenne. Je me suis courbée en avant les bras étendus devant moi, les fesses offertes à la vue de tous.
Placée ainsi, j'avais le visage de la femme en face de moi : très jeune, à peine 20 ans, des cheveux blonds courts, des immenses yeux bleus, un petit nez retroussé, la bouche aux lèvres ourlées et entrouvertes. De part et d’autre de la sellette, je pouvais voir ses seins menus avec un téton à peine marqué. Son visage reflétait l'extase d'une femme bien baisée.
J'ai senti que Jonathan écartait mes fesses pour me faire un cunnilingus par l'arrière. J'ai ouvert le compas de mes cuisses et sa langue est venue lécher mes deux orifices et la partie entre les deux entrées, qui chez moi est très sensible.
Ma cyprine commençait à ruisseler. J'étais prête à subir l'estocade virile de mon compagnon. Ce coquin a calqué son rythme sur celui de l'autre baiseur qui lui faisait face.
Très excités l'un et l'autre, notre jouissance n'a pas tardée. Au moment où Jonathan a lancé au fond de me vagin quelques bonnes giclées de sperme, j'ai joui à mon tour en même temps que l'autre couple. Ayant retiré son préservatif l'homme a achevé de se vider sur les fesses de la fille qu'il a détachée aussitôt.
Les deux hommes avaient la bite encore à moitié bandée. La fille s'est précipitée devant Jonathan et à genoux devant lui, a entrepris de toiletter son sexe.
Ne voulant pas rester inactive, j'en ai fait autant avec celui de son baiseur. C'est ainsi que le changement de partenaire s'est fait.
L'une comme l'autre, nous avons fait renaître une belle bandaison. Les deux hommes se sont couverts et nous avons baisé ensemble tous les quatre.
L'homme avait une bite fine et très longue. Chaque fois qu'il allait au fond de ma chatte, je ressentais comme une décharge électrique. J'avais pu le constater, c'était un baiseur endurant. Il m'a fait jouir deux fois avant de se vider dans le préservatif.
Si mon copain, au début, avait pris la fille comme moi, courbée sur le fauteuil, ils avaient changé de position. Assis dans le fauteuil, Jonathan était chevauché par la fille qui lui tournait le dos. Les pieds à plat sur les cuisses de Jonathan elle faisait des mouvements de bas en haut sur la bite que nous pouvions voir entrer et sortir de sa chatte dépourvue de toison mais aux lèvres intimes bien dessinées.
Il la tenait par les seins et à voir la position des mains il devait lui pincer les tétons. C'était chaud. Ils ont joui en même temps, quelques minutes après nous.
Les deux hommes se sont débarrassés des préservatifs et nous avons bavardé de brefs instants. L'homme était un habitué des lieux par contre la fille en était, comme moi, à sa première expérience en club mais elle avouait librement que c’était une gourmande de sexe.
L'une comme l'autre nous avions apprécié cette possibilité de baiser avec plusieurs partenaires sans contrainte et surtout sans cachotteries. J’avais sauté le pas de l’échangisme.
Avec mon copain, nous avons estimé que pour une première fois cela suffisait. Nous avons quitté le club mais depuis nous y sommes déjà retournés deux fois à un mois d’intervalle.
Nous y avions pris goût et rencontré des gens sympathiques et de bonne compagnie pour ce que nous venions chercher.
C'est ainsi qu'avec Jonathan et l'homme rencontré la première fois j'ai fait l'expérience d'une vraie double pénétration. Oulla ! Qu'est ce que j'ai pu jouir à sentir ces deux pines en moi, Jonathan devant et la bite fine de l'autre homme dans mon cul.
Je sais que je vivrai d'autres aventures sexuelles, mais c'est si bon de s'exhiber ainsi devant les voyeurs coquins des deux sexes !....
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Les jeunes mariés
L'histoire se passe fin juin. Fabrice, vingt-trois ans, et Laura, vingt ans, partent en voyage de noces à Agde, dans le sud de la France. Ce sont les parents de Fabrice qui ont gracieusement prêté leur appartement, un petit deux pièces en rez-de-chaussée, avec jardin. Le matin, après avoir fait un gros câlin, ils vont se baigner à la plage toute proche.
Ils n'ont qu'à traverser la rue piétonne pour être sur la plage. Ils en reviennent vers midi. Un petit apéro, un repas léger, suivi d'une sieste coquine. Pendant une heure, les nouveaux mariés vont honorer leur voyage de noces.
« Salaud chéri, soupire-t-elle, ça fait trois fois que tu me niques depuis ce matin.
- Tu es tellement polissonne, sourit Fabrice. Je n’ai pas fini de te faire couiner toute la semaine…. »
En fin de soirée, vers dix-sept heures, ils retournent prendre un bain, jusqu'à dix-neuf heures. Les jeunes époux s’amusent dans l'eau, comme des fous, sans se soucier des vacanciers qui gravitent autour d'eux. Leurs baisers sont torrides, ils nagent en plein bonheur.
« Arrête, dit Laura, sors tes doigts de ma chatte. Tu vas voir quand je vais te choper les couilles salaud.
- Essaie toujours, défie Fabrice. Si tu n’y arrives pas, tu auras un gage, d'accord ?
Bien sur, dans l'eau, Laura n'a pas la même endurance que son mari. Elle abandonne en sachant que de toute façon, le gage sera érotique, qu'il sera négocié dans le lit. Elle en salive déjà… Bien sur, elle a perdu. Et maintenant, elle attend avec impatience de savoir quel sera son gage…
En rentrant de la plage, les jeunes époux vont directement à la salle de bains. Fabrice en sort le premier, vêtu d'un short, s'installe dans la cour et sirote une bière. Laura fini de se doucher, rince les maillots, et enfile une robe ultra courte. Elle sort pour étendre le linge. En se hissant sur la pointe des pieds pour atteindre le fil de fer, sa robe remonte à la hauteur des hanches.
Fabrice a devant lui, les petites fesses de sa femme, partagées par une raie parfaite. Et si de derrière, on voit les fesses, de devant, on doit voir la chatte, sans nul doute possible !
Cela lui donne une idée… Le jardin est séparé de la rue piétonne par un petit muret surmonté d'un grillage. Un semblant de haie masque la visibilité. Fabrice ne peut résister à l'envie d'envoyer une main entre les cuisses offertes de sa charmante épouse.
« Arrête, gronde-t-elle, çà va pas enfin. Tu ferais mieux de réfléchir au gage que tu vas me donner.
- Justement, tu ne perds rein pour attendre, ma chérie… »
Attirées par les voix, trois personnes se collent au grillage, et se figent devant le spectacle, yeux grands ouverts… Un homme d'un certain âge, soixante cinq ans environ, et deux jeunes blacks, vingt-deux ans, pas plus. Par politesse, Laura leur dit bonjour, sans se douter qu'ils ont une vue imprenable sur son intimité. En voyant l'effet produit, l’idée vicieuse prend forme dans l’esprit de Fabrice.
« Et si j'offrais ma femme aux mains de ces piétonniers. Je saurai si je suis seul capable à savoir la faire vibrer. Et puis, ce serait un super gage… Je vais l’obliger à accepter toutes les demandes de ces trois hommes…»
Fabrice se lève, saisit le bas de la robe, et la soulève jusqu'au cou de Laura. Il lui prend les seins à peines mains, et les caresse. Ce matin, elle a épilé son minou pour bien dégager la fente, en prévision du gage. Les curieux peuvent tout à loisir, admirer son corps superbe. D'abord surprise, Laura se débat pour remettre sa tenue en place. Mais avec les bras en l'air, elle n'est pas dans une position favorable.
« Tu es fou, gronde-t-elle, baisse ça, dépêche-toi, tu n’as pas honte de me monter comme ainsi ?
- Chérie, un gage c'est un gage. Tu dois exécuter celui que j'ai choisi… Tu vas devoir faire tout ce que ces messieurs vont te demander.. Tu as ma bénédiction ! »
Fabrice la pousse vers la grille. Elle essaie de freiner avec ses pieds, en vain. Petit à petit, ses jambes s'écartent. Elle arrive à portée des trois voyeurs qui n’en espéraient pas tant ! C'est le papy qui se montre le plus entreprenant. Il engage une main à travers le grillage, et la glisse entre les cuisses de Laura. Celle-ci est en larmes, offerte aux mains de cet inconnu.
« Assez, supplie-t-elle, tu ne peux pas me faire çà, je suis ta femme !!! »
Fabrice reste apparemment de marbre. Mais il est excité comme un fou de la voir see faire peloter par un vieux vicelard…
Mais le vieux a de l'expérience, il connait les parties sensibles, érogènes d'une femme. Laura est troublée par les caresses de plus en plus vicieuses du vieil homme. Il joue avec les lèvres légèrement humides. Son corps raidi jusque là, commence à se détendre.
« Oh… comme il m'a décalotté le clitoris, gémit Laura, comme il me chatte ce salaud... ha… je suis toute mouillée. A non, pas çà vicieux, pas mon petit trou, cochon !!! Ah... çà y est... il me le doigte à fond ! Que c'est bon… il va me faire jouir...
- Tu ne veux que je lui dise d'arrêter ? demande Fabrice, un peu inquiet de la tournure des évènements.
- Non… surtout pas, soupire Laura. Il me fait les deux trous en même temps… c'est trop... ah, putain… je jouis, chéri… je crache ma mouille pour lui !!! Oui... oui… Demande aux deux jeunes de me faire voir leurs queues. J'ai toujours eu envie de voir une bite de black ! »
Sur un signe de Fabrice, résigné, les jeunes baissent leur bermuda. Laura n'est pas déçue. Ils bandent comme des taureaux. Leurs bites forment des barres verticales, qui touchent leur nombril. Chacune ne mesure pas moins de vingt centimètres, pur un calibre appréciable.
« Wouaou... Comme ils sont montés… Ca, c'est da la queue, et quelles paires de couilles !
- Hé, dit l'un d'eux, ce soir on va prendre un verre au "Bar Live", tu peux nous prêter ta meuf ? »
Fabrice ne se doutait pas que les choses en arriveraient là. Il accepte, un peu malgré lui… Il se dit que c’était peut-être un accident, que sa femme jouisse avec un autre !!!
Laura fini de se préparer, il est vingt-trois heures. Elle est vêtue d'une minijupe qui lui arrive au ras de la matte, et d'un chemisier noué sur le nombril.
« Tu es sure que c'est çà que tu veux ? demande Fabrice. Soit prudente ma chérie. Et ton string, tu ne le mets pas ?
- Ce n’est pas nécessaire, mon amour, puis je ne vais pas m'éterniser. Je prends juste un verre.
Fabrice accompagne sa jeune épouse jusqu'au "Bar Live", situé en bord de mer, puis la regarde s'éloigner, un pincement au cœur. A peine arrivée, Laura est prise en charge par les deux blacks.
« Je m'appelle Doc, et voici Doumé, on t'offre un verre ? »
Elle accepte, et elle se retrouve sur la terrasse, un cocktail au rhum dans la main. Le sable crisse sous ses pieds, le vent lui caresse les seins qui pointent sous le petit haut léger. Les deux jeunes hommes l’entourent. Très vite, ils lui demandent de quitter le bar, bien trop éclairé pour leurs projets… Laura accepte. Depuis l’après midi, elle ne pense plus qu’à ces belles bites aperçues tout à l’heure. En un mot, elle a envie de se faire bourrer à fond par ces gros engins blacks !
Les deux jeunes noirs sont bâtis comme des athlètes, vêtus d'un short moulant qui laisse deviner de sérieux atouts. Ils l'attirent au bord de l'eau. D'entrée, Doc glisse une main entre les jambes de Laura. Elle n'esquisse aucun mouvement de défense. Elle en a trop envie, même si un vague sentiment de culpabilité traine au fond de son cœur… Après tout, c’est son mari qui a voulu cette situation !
Moussa passe derrière elle, ôte le chemisier, et lui palpe les seins déjà durcis par le désir. Doc fait glisser la mini-jupe. Ils quittent leur short. Laura saisit les imposantes bites encore au repos. Trois, quatre va et vient, et les voilà opérationnelles. Doc s'allonge sur le sable, et force Laura à s'empaler sur son membre. Laura est trempée, le pieu la pénètre dans aucune résistance. Elle glousse de plaisir. Jamais un homme ne l’a possédée aussi vite, aussi durement, sans caresses préalables. Et pourtant, elle aime ça !
Moussa, toujours derrière elle, fait rouler le bout ses seins entre ses doigts.
« Oh… ma petite chatte... tu te fais mettre... Quel coup de queue tu es en train de prendre ! Tu es toute mouillée ! Salope… tu sens comme il est monté le black… çà te change hein... il va te faire jouir ce salaud… oh… oui… nique-moi… j'y suis… oui…
- Tiens, petite pute, râle je jeune noir.. c’est bon de se vider les couilles dans la chatte d'une blanche… han... prend ca ! »
Il est secoué d’un violent orgasme, et jute son foutre dans l’utérus de la jeune mariée. Laura s'écroule sur le corps du jeune homme, lui force les lèvres avec sa langue. Ses seins s'écrasent sur le torse musclé. Mossa, attiré par les fesses cambrées de la jeune femme, s'avance, mouille le bout de sa queue à la fontaine de foutre de son copain, mélangé à la mouille de Laura. Il beurre la rondelle frémissante de cet onctueux mélange. Laura se tord d’excitation. Son anus est vierge, elle devait le garder pour son mari... Tant pis pour lui ! Elle rêve de se faire enculer par ce monstre noir… Il place son mandrin raidi contre le petit trou, et la pénètre d’un seul coup de rein...
« Ah… il m'encule… oh putain… quelle bite il a lui aussi… vas-y… bourre-moi le cul... remplis-le… oui... »
Mossa est trop excité par cet étroit conduit, et crache son venin dans les entrailles ouvertes de Laura. Elle jouit aussi, très fort, d’autant que Doc lui malaxe le clito avec habileté. Seule la clarté de la lune éclaire la plage. On voit nettement le corps à peine bronzé de Laura, s'agiter entre les deux blacks. Le contraste est saisissant… Pendant deux heures, les hurlements de plaisir vont déchirer la nuit. Bien qu’elle est les deux tours en feu, et la mâchoire contractée de trop de pompage de bite, elle en veut encore… Laura insiste pour que ses deux amants d'une nuit, la raccompagne chez elle, pour prendre un dernier verre.
Fabrice, qui s'était assoupi, est réveillé par des bruits qui ne laissent aucun doute sur leur origine. Il est trois heures du matin. Furieux, il se lève, passe dans le salon, et reste cloué sur place ! La scène qui se déroule devant lui est irréelle. Laura, entièrement nue, est à quatre pattes sur la table, jambes écartées. Devant elle, Doc se fait tailler une pipe par sa femme adorée. Ses joues sont déformées par l’énorme gland du jeune homme, pendant que Moussa la prend par derrière.
« Mais chérie, bégaie-t-il, que fais-tu ? On est marié depuis une semaine, et déjà tu me trompes ???
- Oh… tu ne vois pas que je me fais enfifrer... Si tu savais comme ils se sont amusés avec moi !!! Mhumm... quels coups de queues ils m’ont mis… trois, quatre chacun, sans débander… regarde ce salaud ce qu'il me met dans le cul… tu vas voir comme il va prendre la petite chatte de ta femme… il sait s'en servir, lui ! Ca fait quatre heures que mon clitoris est décalotté… il est en sang ! Mon chéri, c’est toi qui m’as dit que mon gage consistait à tout accepter de ces hommes… »
Fabrice est anéanti. Jamais il n’aurait cru quelle irait jusque là ! Laura reprend l'énorme queue de Doc, juste au moment où celui-ci éjacule un foutre toujours aussi abondant. La semence du jeune black déferle dans la gorge de la jeune mariée.
« Ben dis-donc, sourit Laura, tu as de la réserve. A toi Moussa, vide tes couilles dans mon petit trou, pour une fois qu'il sert… »
Fabrice, sans réaction, est affalé sur une chaise, les bras ballant le long du corps.
« Fais pas cette tête, sourit Doc, on ne lui a pas fait mal, au contraire. Je reconnais qu'elle est bonne, quelle pute ! Tu ne dois pas t'emmerder avec elle, salaud !
- On s'est juste amusés avec elle, poursuit Moussa, en lui tapant sur l'épaule. »
Laura saisit les deux blacks par les testicules, et les soupèse en les faisant rouler entre ses doigts, ce qui provoque une nouvelle érection.
« Elles sont pleines encore, remarque Laura. Chéri, çà ne te fait rien de prendre le canapé ? J'irais bien au lit avec eux, hein mon trésor ? J'ai encore envie de me le faire mettre. Pour une fois que j'ai deux grosses queues rien que pour moi. Ah, au fait, je t'ai pas dis : pour te faire plaisir, j'ai décidé de prolonger ton gage toute la semaine !!! »
Fabrice assiste, impuissant, à la sortie majestueuse de sa femme, tenant ses deux amants par les couilles. Il sait que son calvaire a commencé… Mais après tout, il l’a bien cherché !!! Pourtant, quelques secondes plus tard, elle lui donne le coup de grâce :
« Mon amour, si tu ne veux pas me laisser seule avec eux, je suis d’accord. Mais à une condition : que tu les suces à fond devant moi, voire même plus… »
La rencontre de Sophie, par Black Karma
Elle c’est SOPHIE. Elle m’a précisé Sophie de R.
Elle n’aime pas qu’on la compare aux autres. Elle n’est en rien comparable aux autres car elle est maîtresse d’elle-même, de ses choix et de ses désirs.
Elle vit en Guyane, c’est même peut être une guyanaise en tout cas : qu’importe c’est une femme « djok », qui prend ce dont elle a envie. Elle est de ce bois canon là, et elle m’a choisi MOI.
Oh, faut savoir que j’ai rien de plus qu’un autre. Je suis un de ces « ti-Boug sans sens » qui pullulent ici et là. Je suis ce cliché-là : panoplies jamaïcaines DICKIES, le style plus ricains encore que les AMERICAINS, plus RASTA encore que Bob Marley, peut être une sorte de Fifties Cents avec les muscles en moins, l’air faussement méchant en plus.
Je n’ai rien de plus qu’un autre de mes pairs, rien de moins qu’un autre de ces jeunes kamikazes en véhicules motorisés, prêt à tout pour se faire remarquer mais qui en fait ne se démarquent de rien.
C’est vrai ! Tu pourrais te dire ça me voyant. Que tu sois un homme ou une femme. Encore faudrait-il que tu m’ais regardé.
Et pourtant, j’aspire aux mêmes choses que les autres : le bonheur. Je désire les mêmes choses que les autres : jouir de ce bonheur.
Alors oui, je ressemble surement à n’importe quel autre, à la différence que le sexe est pour moi un plaisir aussi épicurien que le bien-manger, le bien-boire, en somme le bien-vivre. En l’occurrence, j’adore aussi le bien et le bon sexe. Pas juste le « koké », que tout le monde connait, non le « bon-koké »
Comme les autres, proches de cette trentaine inéluctable, je n’ai pas nécessairement tous les atouts de la séduction immédiate, j’ai juste le verbe romantique, le désir du fantasme vécu. Comme les autres, j’aime « la » femme, toutes les femmes pour autant qu’elles s’aiment et qu’elles aiment la vie.
Et ce soir, j’allais aimer Sophie, Sophie de R., Sophie mystère, Sophie qui tient un blog.
On a pris rendez vous pour vendredi, vendredi dans l’après-midi, juste au moment où on ne distingue plus le jour du commencement de la nuit. On s’est donné rendez vous dans le parking du stade de Baduel, sur la droite, près de l’herbe. Elle m’a donné la marque de sa voiture, et je lui ai donné celle de la mienne.
A l’heure prévue, on est tous les deux là. L’heure n’est pas guyanaise là, elle est au désir. C’est une heure qui n’attend pas. Chacun au volant de son véhicule, on se voit pour la première fois, on s’appréhende rapidement. C’est le désir qui parle et bien avant cette rencontre, il avait prévu ce qui devait se passer. Le doute n’est pas là, y pas de passagers dans nos voitures. Alors après s’être regardés et souris, on démarre jetant par la portière toutes indécisions et rattrapant au passage l’excitation, le désir, l’envie de jouir de l’inconnu.
J’avais vu des photos de Sophie de R. sur son blog, son intimité luisante, ses récits excitants comme un film érotique, sa vertu vicieuse. Mais je ne connaissais pas son visage. Eh bien, elle est telle que vous l’avez imaginé,e peut être un peu plus charmante, avec l’air du vice en plus.
On se gare devant un immeuble étrange. On est dans un quartier plutôt propre sur lui et agencé de manière à ce que chaque maison entretienne sa propre intimité. Très peu de voisins, et en cet après midi de début de weekend, même pas un mioche qui fait du vélo ou qui tape de manière bruyante sur le portail de ses parents avec une balle de football en cuir véritable.
Juste cette maison en face de moi : plutôt grande. Le jardin broussailleux et presque sauvage entoure ce lieu d’où ne s’échappe aucun bruit. La maison est vide. Dans ma voiture, je m’interroge et me demande à qui elle peut bien appartenir, quand soudain Sophie apparaît à ma fenêtre et me demande de rentrer environ cinq minutes après elle dans la propriété. J’ai à peine répondu qu’elle m’embrasse subitement. Désolée, me dit-elle, elle ne pouvait se retenir. Elle s’éloigne, et en la regardant pénétrer l’endroit, c’est moi et mon imagination que je ne pouvais retenir.
Elle est belle Sophie de R.. Elle n’est ni trop grande, ni trop petite, juste à une taille qui me convient et qui convient aux choses, elle a un sourire qui rivalise avec la beauté elle-même, une robe noire et un corps et des fesses fabriquées par le Diable pour nous faire connaitre à coup sûr, un des 7 péchés capitaux.
Mais je dis ca, je ne dis rien !!! Je compte juste les minutes, je tente de retenir l’excitation qui monte, la boule qui se forme dans mon jeans. Et si je serre les dents, ce n’est pas que j’ai les dents longues, mais que, emprisonné comme il est dans son fourreau, mon pénis me fait mal à vouloir se détendre dans un espace trop petit pour lui et qui ne lui est conseillé qu’au repos.
Je compte. Cela fait cinq minutes. Allez, j’en laisse un peu plus. Un peu plus de temps pour que la surprise soit plus belle. Je me faufile à l’entrée sans toucher le portail rouillé. Je regarde avec admiration comment la nature a repris ses droits sur la demeure, et distingue deux colibris qui se suivent à travers les branches cassés, les feuilles jaunes et rouges du cotonnier et les troncs déjà attaqués par les pouls bois. J’arrive à l’entrée de ce bâtiment sur étages. Il y a un mot scotché sur la vitre de la porte d’entrée : tu entres, tu suis la lumière et les instructions.
Sophie est très mystérieuse et joueuse. J’adore Sophie. La nuit tombe surement maintenant et j’aperçois à l’intérieur de cette maison vide, une lumière près de l’escalier. C’est une bougie. Mais je vois autre chose en me rapprochant : la robe que portait Sophie de R. tantôt. Le vêtement est sur la marche de l’escalier et il y a un mot sur une feuille : enlève le Haut ! Je souris à la vue du spectacle d’inanimés et m’exécute et j’enlève mon tee-shirt. J’ai les tétons qui trahissent mon calme apparent.
Je monte, une autre bougie, accompagnée d’un soutien gorge. Et d’un mot : enlève le bas…. Déjà ? Tout ! Alors avec ce qui me reste de pudeur, le cœur battant de plus en plus fort, l’envie de monter les marches quatre à quatre, je décide de garder le caleçon. En même temps, mon sexe faisait déjà tout pour être à l’extérieur à l’air libre, on aurait dit qu’il voulait percer le sous vêtement.
Je continue et j’aperçois la fin des marches et sur la dernière une autre bougie, pas de vêtements, juste un mot : enlève ce qui reste ! Je regarde mon caleçon et le tissu fin est déjà un peu mouillé par endroit. J’ai le désir qui me fait fondre et qui coule déjà dans mon « calimbé ». Je l’enlève et rejoins la chambre qui est éclairée.
La maison est donc une maison vide. Aucun meuble, aucune activité électrique. Visiblement, juste celle de notre envie, celle qui va rapprocher nos corps.
Je suis maintenant devant la chambre. Sophie est couchée sur le ventre, elle n’est pas totalement nue, elle a gardé son string. Elle est couchée sur un matelas à même le sol, recouvert d’un drap pour éviter les acariens. Elle regarde vers le mur du fond. Pas moi. Et pourtant, elle sait que je suis là. Les bougies qui l’éclairent donne à l’atmosphère quelque chose d’irréel mais la tension est palpable, le désir sent déjà et se répand dans la pièce, dont je referme la porte.
Elle ne bouge pas et moi non plus. Je suis debout et je regarde le spectacle de son corps là, étendu, les jambes légèrement écartées, son intimité pas tout à fait cachée par un bout de tissu en dentelle.
Je le répète : elle a de superbes fesses Sophie de R.
Je ne détermine pas son origine ethnique, mais ce sont des fesses rebondies, une forme ovale que l’on ne peut dessiner à main nue, une sorte de géométrie de la rondeur incalculable. Je me mords les lèvres. J’avale ma salive. J’ai déjà faim. Mon sexe est tendu, je ne le regarde même pas, je sais qu’il voudrait agir de son propre chef.
Pénis tendu, gland gonflé. Cette turgescence me rassure et je voudrais qu’elle la voie.
Surement m’a-t-elle entendu puisque elle se retourne maintenant : elle me fait découvrir sa poitrine, ronde, grosse et belle comme les papayes de Man Henriac sur le marché de Cayenne.
Elle me regarde et sourit. Ce sourire qu’elle ne quitte jamais, et qui ne peut que me convaincre à poursuivre mon élan du désir. Elle a la peau claire et les ombres des flammes des bougies dansent sur celle-ci.
« Viens, me dit-elle ! Viens près de moi ! »
Je me rapproche et Sophie enlève son dernier apparat. Elle a le sexe rasé. Elle aime avoir le sexe épilé. Elle trouve ça hygiénique et sensuel. Je trouve ça hygiénique et ouvert sur un champ des possibles beaucoup plus agréables. Alors sans réfléchir, je me baisse et me mets à quatre pattes sur ce sol que je ne connais même pas, mon sexe gonflé ressemble à une queue, à une troisième jambe, une drôle de béquille.
Des gouttes perlent encore, je ne peux contrôler ce mécanisme organique du plaisir anticipée. J’en ai pas envie, je suis un animal à quatre pattes et ma proie est devant moi : c’est une SOPHIE, un animal protégé en voie d’excitation.
Le string est posé délicatement sur un coin du matelas, pendant que j’arrive à la hauteur de ses pieds. Ma bête a les pieds humains, fins et sensibles. Quand j’en approche ma bouche, ils se tortillent. Quand je leur souffle dessus, ils palpitent. Je suis près d’ongles french-manucurés qui brillent. Je choisis alors d’explorer entre ces doigts là et du bout de la langue, je dessine son pied et m’attarde avec une succion timide sur ces petits appendices. Je voyage sur la plante de son autre pied et l’énerve la partageant entre frétillements et agacements.
« Arrête, c’est une torture !! » rit–elle en enlevant son pied.
J’arrête, mais je continue à avancer à quatre pattes. Je suis un jaguar maintenant, et je renifle le corps de ma proie. De la cheville aux genoux, du genou à la cuisse, ici et là, je passe doucement ma langue pour m’assurer du relief et des replis de sa peau. Ma proie est docile, elle me regarde, mais ne bouge pas. Elle veut profiter du moment et d’une certaine passivité. Son souffle devient court et sa respiration profonde. Sophie continue de sourire, ne s’arrête jamais. Et moi, à mesure que je remonte ses cuisses, je me régale de l’odeur de sa peau, qui se mêle bientôt à l’odeur plus forte de son sexe.
Soudain, elle pose la main sur sa vulve. « Embrasse-moi ! », me dit-elle.
Alors quoi qu’étant le prédateur, je lui accorde sa dernière volonté. Je me rapproche de son visage, elle a le regard qui ne sautille pas, l’air sûr et pourtant tendre.
Je colle mes lèvres aux siennes et insère ma langue. La sienne
m’accueille et m’entraine dans un accord parfait dans un mélange de gouts et de mouvements. Hum Discovery-langues ! On s’applique, se pince, se cherche se taquine. Ce n’est plus juste un baiser, c’est un jeu qui envahit le corps entier, ma cuisse croise son entrecuisse et se frottent, sa main veut saisir à la fois mon visage et mon sexe. Je me retire !
Un temps, je la regarde et me rappelle que depuis son blog, je m’étais fait déjà milles scénarios.
Sophie de R. n’est plus un mythe. Mais encore un mystère profond. Avec l’agilité d’une panthère, je me débarrasse de ses mains, libère mon sexe et presque brutalement je plonge vers son sexe que j’ai senti humide sur ma jambe.
Sauvagement, mais sans lui faire mal, je me place entre ces cuisses, mon nez est presque collé à son sexe imberbe et j’hume déjà les odeurs appétissantes d’un sexe aux lèvres gonflés. C’est un spectacle que je connais, et pourtant un sexe de femme qui s’ouvre est toujours émouvant. Je souffle sur les lèvres, autour, au milieu, j’isole son clitoris entre mes doigts et le taquine des lèvres doucement. Je veux la taquiner, Sophie de R. Je sais que cç marche.
Car elle bouge du bassin et cherche à se rapprocher. « Vas-y ! Vas-y ! N’hésite plus », me dit–elle !!!
Alors je colle brutalement ma bouche sur son clitoris, et avec ma langue le balance rapidement de haut en bas et de bas en gauche etc.… et aussi vite que j’ai commencé je m’arrête, et la regarde.
« Pourquoi tu t’arrêtes ? » dit-elle les sourcils froncés.
Sophie avait anticipé le plaisir et j’avais tout fait pour. Je me rapproche alors de son ventre, sans dire mot, m’attarde sur son nombril, effleure ses côtes et me dirige vers ses pointus tétons.
A cette station, il faut faire le tour des petites pylônes, dans un sens, puis dans l’autre… Mordiller au passage mais doucement, sucer et encore faire des tours et mordiller et sucer, chaque petit pylône ! Car ces bouts colorés et sensibles sont deux et il ne faut pas faire de jaloux ! Sophie973 ne parle pas. Elle s’exprime en onomatopées de râles et de plaisirs. Elle regarde beaucoup, son plaisir est visuel, et sourit toujours, quelque soit ce qu’elle veut exprimer.
Encore une fois, je change de rythme et passe d’un coup de ses tétons à son vagin. Juste un « annnnh ! » perdu de sa part et j’y suis déjà ! Et cette fois ci, je dois me délecter de la saveur d’un fruit qui devient de plus en plus juteux. Il coule de plaisir et je goute alors à la quintessence de son intimité. Je veux boire à la fontaine de ses entrailles, alors je me colle à son sexe, je suis un chat qui lape tout.
Je découvre son clitoris et le suce, le lape, l’envoie à gauche puis a droite. La langue en pointe, je descends suivant un chemin imaginaire jusqu’au trou merveilleux et j’y pénètre. Sophie apprécie et m’encourage. Elle empoigne parfois le drap. Je le vois du coin de l’œil.
Elle se dérobe du bassin parfois, je le sens : alors avec mes mains je m’agrippe à cette partie de son corps et lui fait comprendre que c’est moi dorénavant qui imprimera le mouvement.
Et j’entame une danse, ma langue son vagin et moi ! Elle me caresse le haut de la tête, avec une main puis deux. En réalité, elle essaie elle aussi de contrôler le mouvement, subtilement. Je le sens. Alors j’abandonne son bassin, remonte à l’aveugle mes mains sur sa poitrine et engage un jeu entre mes doigts et la pointe de ses mamelons. C’est une autre phase, je suce son bouton, l’aspire sans lui laisser de répit et lui pince, lui titille et triture la poitrine. C’est intense ! Si relever brutalement le bassin à une hauteur inimaginable, fermer et ouvrir ses cuisses sans contrôle, se tendre et inspirer en même temps veut dire que Sophie a pris du plaisir ce soir, alors on peut dire qu’elle a pris du plaisir. Car elle se relâche maintenant, elle vit encore. Elle s’est même remise à respirer. J’arrête mes soins à celle qui fut morte. Elle me sourit et me fait signe de venir.
Alors je me rapproche d’elle. J’arrive à hauteur de visage.
« Continue…. » dit-elle.
Alors, je la dépasse et son visage est à la hauteur de mon thorax. Elle m’embrasse, saisit mon sexe et me suce les tétons. Très vite, elle me demande de continuer d’avancer et je m’exécute, sachant maintenant à quoi m’attendre. Je ne regarde pas. Je sens et ressens sa bouche près de mon sexe. Je ne regarde pas. Je sens juste sa bouche sur le bout de mon sexe, sur le gland, sur mon ventre et à nouveau sur mon sexe. Soudain, elle le prend en bouche. Et arrête aussitôt de me sucer. « Mets-toi à l’aise », me dit elle. « Couche-toi et je vais m’occuper de toi ! »
C’est à mon tour d’être sans défense. Je ferme les yeux. Je ne veux pas voir. Je veux juste ressentir. Elle m’embrasse un peu partout sur le torse, explore chaque forme de ma poitrine et la bonne santé de ses bouts, le dénivelé de mes abdominaux, qu’elle embrasse chacun à leur tour comme un rituel sacré et s’attarde autour du « bâton ».
C’est elle l’animal maintenant, celui qui lèche, tantôt le gland, tantôt la tige, parfois les deux, quelquefois un peu plus bas même étonnement plus bas que les bourses. C’est un animal sans limites, qui veut tout connaitre, tout sentir tout gouter. Ses mains branlent mon pénis, tandis que sa langue s’essaye à mon petit trou. Quelle coquine !! Elle a osé.
« Tu n’avais pas le droit ! »
Elle me regarde et continue ce qu’elle fait en me disant : « je le prends le droit, et tu aurais dû, toi aussi, le prendre !! » Je me relève alors soudainement. Je dois lui demander de continuer mais de venir à moi et de me laisser la lécher en même temps. Sopjie de R. me regarde, et me poussant de sa main libre, elle me force à me recoucher. Elle vient placer intimité au dessus de mon visage.
« Explore ce que tu dois ! Et ne te prive de rien stp !!! », dit-elle en se remettant à me sucer, et jouant maintenant à me mordiller le gland !!
Hum, cette chatte offerte !! Je m’en délecte un peu… puis en abaissant ces fesses avec mes mains je me rapproche de l’œil de son petit trou. Un petit coup de langue, deux, et bientôt délicatement je peux pénétrer.
Alors je m’insère, je vérifie les alentours, je rentre à nouveau et retourne à au point de départ : le clitoris gonflé, bandé, gros et dur. Cette fois, je mets le doigt à l’intérieur. Sophie m’indique à sa manière que ca lui plait. Elle gémit. Alors je continue, me concentrant sur son clitoris, et mon doigt dans sa entre ses lèvres qui laissent tout passer. Elle insère sa langue dans la fente de mon sexe. Et se remet à me sucer, descendant loin sur mon pénis. C’est très bon, alors faut que je lui fasse savoir. Il me reste une main. Un doigt qui s’approche de sa rosette. Il lui tourne autour, palpe avertit de ses intentions, s’humidifie et pénètre doucement très doucement. Elle ne bouge presque plus, elle est électrique. Je me concentre car si une femme peut faire deux choses en même temps, je dois savoir en faire trois à ce moment-là.
Je dois sucer, insérer et pénétrer. Elle ressent, frissonne suce. Jusqu’à la garde.
« Ca monte, ca monte », dit elle….
Alors je me calme. « Non encore ! Encore ! Encore ! », rajoute-t-elle. Alors je m’applique, encore, encore et encore, mais je pourrais me retenir longtemps, mon plaisir monte moi aussi. Elle tremble, je ne me retiens plus, je continue de sucer, d’aspirer de titiller, c’est le plus important… Elle se relève, et appuie sur mon visage, je vais jouir…. son clito gonfle encore, je le suce encore et son corps se tord. Se tord encore dans tous les sens qui existent.
Des spasmes !!! Une explosion !!!!! Je ne contrôle pas, je ne vois plus rien…..je ne sais plus ce qui se passe.
Tu crois que c’est fini… mais avec Sophie de R., ce n’est jamais fini !!
Black Karma
Les Mémoires Très Libertines de Sophie
Merci de votre visite, que vous soyez nouveau venu, ou fidèle habitué...
Ce que j'écris est vrai, ce sont mes mémoires sexuelles. Mais pour les récits des autres qui sont ici publiés, je ne sais pas la part de réel et de fantasme...
Il m'arrive de publier aussi des histoires de et pour mes amis gays et zoophiles.
J'invente aussi des histoires, celles où je me mets dans la peau d'un homme, le plus souvent...
Soit 180 200 visiteurs en bientot qutre ans d'existence !
je n'imaginais pas que ce blog surtout dédié à l'écrit, aux récits vécus ou fanstasmés, vous plairait autant !...
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Magnifique salope mariée ! voilà une femme comme je les aime !!!!!
Elle va avoir une excellente carrière de femme mariée devant elle,et les
partenaires ne vont pas manquer !!! qu'elle nature mes félicitations !!!!!
Exactement une très belle histoire, merce au narrateur.
Une superbe histoire de marié, j'ai adoré!! moi je kiffe aussi les rencontres sexe sans lendemain vous savez alors que je suis une femme !
Humm belle histoire, merci et encore
super cette histoire ,me voilà avec une érection d'enfer merci
Un voyage de noces exceptionnel et plein de surprises !
C'est une histoire plus que coquine! Cela me donne des idées!